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Commentaire de Jdemnahouby

sur Fonction publique : faites ce que je dis...


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Jdemnahouby 4 juin 2008 10:25

Totalementd accord avec chti boom,

Meme si le nombre de conseillers peut parait excessif, quand on gere un pays de plus de 60 millions d habitants on a besoin d aide c est du bon sens et ca me fait marrer de voir des gens stigmatiser l omnipresence de Sarko et son "je decide tout tout seul" et dans le meme temps s offusquer du nombre de conseillers qui coutent forcement tres chers.............. on en vient a des calculs simplistes ou y aurait + de 800 conseillers a mini 3500 EUR

Laissez moi rire !

Dites donc le mechant Sarko, il serait pas encore plus mechant s il avait pas de conseillers du tout ??
Ne le considereriez vous pas encore + autocrate ???

Ah oui au fait a chaque fois que je dis du bien de Sarko sur Agoravox, je suis remunere d un pin s de l UMP et d une photo dedicacee de Carla, ca vous dit pas d en recevoir ?

Pour ceux qui ont pas compris le commentaire de Lerma, c etait pourtant pas complique : au lieu de voir le mal partout meme dans des choses qui s expliquent, focalisez vous plutot sur des vrais scandales !
A trop se focaliser sur les moindres faits et geste de Sarko, vous oubliez de regarder ce qui se passe a cote de chez vous...............
 

Maintenant au lieu de critiquer cette enorme charge pour la societe, parlez plutot concretement des actions entreprises, et la j avoue qu il y a de quoi et on est en droit d etre decu des mesures prises par ce gouvernement maintenant il faut etre naif pour croire qu il peut tout rgler en 1 an notre super Sarko

Pour finir un petit article d un journal propagandiste, paye par Sarko :
 

Charasse : « Le PS ne dit plus
la vérité aux Français » Exclu du Parti socialiste, le sénateur du Puy-de-Dôme vient d’adhérer au groupe RDSE (Rassemblement démocratique social et européen) qui compte désormais 17 membres.

LE FIGARO. Dans quel état d’esprit êtes-vous après votre exclusion du PS ?
Michel CHARASSE. Très zen. Pour moi comme pour beaucoup de Français, il y a un certain temps que le niveau du PS ne dépasse pas celui des trottoirs municipaux, sujet sur lequel il faut reconnaître que les socialistes sont très bons !

Qu’entendez-vous par un « certain temps » ?
Le PS s’est étiolé petit à petit jusqu’à la déchirure brutale de l’échec de Lionel Jospin, en 2002. C’est comme un bassin qui se vide : contrairement à ce qui se passait sous François Mitterrand, nous ne parlons plus aux Français pour leur dire la vérité, mais pour distraire les médias sur des sujets secondaires, des questions de société qui n’intéressent le plus souvent que les minorités.

Vous pensez au pacs ?
Oui, mais pas seulement. Que disons-nous par exemple aux Français, depuis des années, sur l’avenir des retraites ? Aujourd’hui comme en 2003, au moment de la loi Fillon, nous n’avançons aucune proposition courageuse. Le gouvernement réforme tout seul, et nous ne savons que dire non. Avec, parfois, des propositions d’une démagogie effrénée : il se trouve encore des élus PS pour faire croire à des pauvres gens que nous reviendrons à 37,5 ans de cotisation ! Sur un sujet fondamental qui angoisse tant les Français, les socialistes se taisent parce que dire la vérité en face, ce serait se mouiller sur la durée des cotisations, leur montant, éventuellement le niveau des retraites, sans parler de l’âge de départ ! Vous les voyez, ces frileux, se lancer là-dedans ? Oh, ils ont été courageux sous Rocard et sous Jospin, pour faire le bilan objectif de la situation des retraites. Mais ils se sont bien gardés d’annoncer la moindre mesure ! Au fond d’elle-même, la direction du PS est ravie que la droite se tape le sale boulot. Lionel Jospin avait décidé de n’aborder le sujet qu’une fois élu, de peur, sans doute, que dire la vérité lui fasse perdre les élections. Eh bien, l’absence de vérité a réglé l’affaire !

Est-ce aussi la raison de l’échec de Ségolène Royal ?
Entre autres. Les Français n’ont jamais su ce qu’elle ferait sur les retraites ! Elle s’est bien gardée d’y réfléchir, et surtout de faire des propositions. Il faut dire qu’un sujet de cette importance est difficile à aborder dans le cadre de réunions participatives Tupperware… Je suis frappé aussi par le silence du PS sur la situation et sur l’avenir des finances publiques, sécurité sociale et budget de l’État. Le traité de Maastricht de 1992 nous impose de réduire nos déficits de 80 à 100 milliards d’euros d’ici à 2012. Il a été négocié par un président et un gouvernement socialistes, soutenu par une majorité socialiste et approuvé par référendum par les Français, appelés par le PS à voter oui ! Le gouvernement actuel s’attaque au problème dans la douleur et sous les lazzis des socialistes, mais que proposent-ils à la France pour appliquer « leur » traité et pour que notre pays reste écouté et respecté en Europe ?

Pourtant, le PS parle sans cesse des déficits…
Oui, tous les jours, sans doute pour faire sérieux et responsable. Mais quant aux solutions, c’est autre chose. Faut-il des impôts et/ou des cotisations sociales supplémentaires ? Silence ! Des économies budgétaires et sur les dépenses sociales ? Motus ! Et quand on les pousse dans leurs retranchements, ils brandissent le paquet fiscal, qu’ils proposent d’abroger, ce qu’ils ne feront pas, notamment sur les heures supplémentaires et les droits de succession. En ajoutant aussitôt qu’ils redistribueront les 15 milliards ainsi récupérés en pouvoir d’achat. 2012 attendra ! En même temps, ils refusent bec et ongles la moindre participation des patrimoines au financement de la dépendance. Autrement dit, ils trouvent tout à fait normal qu’un pauvre type, qui n’aura jamais de maison ni d’appartement, paie des impôts pour permettre à un propriétaire de transmettre son bien à ses héritiers qui, peut-être, ne se sont jamais occupés de lui. C’est peut-être de la justice socialiste, mais ce n’est pas de la justice sociale ! Et je pourrais citer d’autres exemples : que propose le PS pour compenser la montée du prix de l’essence, si ce n’est de laisser le pauvre Sarkozy ramer tout seul ?

Le PS va encore vous accuser de sarkozysme…
Même exclu du PS, je reste socialiste. Je le suis depuis 46 ans, donc bien plus longtemps que beaucoup des adhérents actuels, et pas grâce à une carte à 20 balles ! Je voudrais que ce parti, que j’ai servi toute ma vie parce qu’à travers lui je voulais servir la France, sorte à son prochain congrès des propositions sérieuses et courageuses. Qu’il cesse de se demander s’il est libéral ou pas, participatif ou pas… Aujourd’hui, quand on prononce le mot « partage » au PS, combien sortent leur revolver ? Notre sociologie n’est plus celle du pays. François Mitterrand disait que, pour gouverner la France, il faut aimer les Français. Le nombrilisme quotidien ne me paraît pas être la forme d’amour que nos concitoyens attendent des socialistes.

Après votre exclusion, dans quel groupe allez-vous siéger au Sénat ?
J’ai adhéré mardi au groupe RDSE, où je retrouve mes amis radicaux de gauche qui, eux, sont de vrais républicains et de vrais laïcs.

 

Mais je suis sur que vous allez me demontrer que Charasse est senile.... smiley

 


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