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Commentaire de Zalka

sur Les services secrets sont-ils l'avenir de l'espéranto ?


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Zalka Zalka 11 juin 2008 11:54

"A noter que les deux magazines qui ont relaté cette histoire ont eu quelque peine à donner une estimation du nombre de locuteurs, pour les mêmes raisons qu’on ne sait pas réellement combien de personnes parlent anglais,"

Vous auriez pu préciser que l’échelle de grandeur est de l’ordre des centaines de millions pour l’anglais et de centaines de milliers pour l’esperanto, non ? Un rapport de 1 à 1000 est rarement négligeable.

Ensuite, je ne vois pas l’intérêt de s’énorguellir du fait que l’esperanto servent à des activistes pour communiquer entre eux, car au delà de l’aspect intercompréhension entre activistes, on a plutôt le sentiment qu’ils s’en servent comme les américains se servaient du navajo pendant la guerre : système de cryptage.

Le comble, non ? Se servir d’un langage commun pour être compris de son groupe réduit, mais en même temps pour NE PAS être compris des gens extérieurs à ce groupe.

De ce point de vue, on pourrait se dire que l’esperanto est une réussite : "personne" ne le parlant, difficile de casser le cryptage. Mais cette qualité ne concerne que l’asie. Le vocabulaire de l’esperanto est bien trop latin pour crypter correctement quoique ce soit dans les pays occidentaux.


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