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Commentaire de Emile Red

sur Nuggets' satisfaction, from british to US sixties


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Emile Red Emile Red 13 juin 2008 12:00

Article passablement niais, désolé mais c’est ce que je ressens à première lecture.

Je ne connais pas cette "compil" mais franchement si c’est au niveau GB = Beatles, Stones, Kinks, Who et US = Beach Boys, c’est dramatique de réduire le rock des sixtises à ces quelques groupes, et de réduire à ces deux seuls pays.

Laisser penser que les bouffeurs de grenouilles n’étaient qu’indigents des cages à miel relève de la même niaiserie.

Chez nous, les bacs de disquaires croulaient sous les nouveautés semaine après semaine venant des USA, les Buffalo Springfield, les Byrds, les MC5, le Velvet existaient, Lynyrd Skynyrd aussi sous le nom de The Noble Five, d’Angleterre, les Shadows faisaient déja office de grand-pères bien avant les Fab Four, les Animals songeaient déjà à la séparation, et que dire des Small Faces, Jethro Tull, les Moody Blues, Soft Machine, d’ Irlande, Them de Van Morrison et Taste de Rory Gallagher, d’Allemagne, le début du Krautrock avec Can, Tangerine Dream ou Amon Duul, en Hollande, The Motions, les Shocking Blue, Brainbox, Focus, de Grèce, les Aphrodite’s Child de Vangelis ou de Suisse, Les Sauterelles, et on en passe et des meilleurs dont un groupe Français méconnu : Zoo.

Alors, OK question production les éditeurs Français n’étaient pas à la hauteur, mais faut-il pour cela penser que les musiciens et le publique étaient des crétins retardés ? Faut-il aussi penser que sans les 4/5 groupes référants le rock n’existerait pas ? Là est toute la triviale naöiveté de cet article.


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