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Commentaire de mensonges

sur Miviludes : les dérives de la mission anti-dérives


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mensonges, diffamations mensonges 17 août 2008 08:23

Concernant le problème d’appartenance aux sectes, le 1er aspect secret semble fonctionner puisque nombreux magistrats semblent faire remarquer la quasie abscence de cas. Victime moi-même en 98/99, ignorée par la justice, il me semble normal de réagir.

Cette présence supposée d’appartenance à une secte, étant une de mes raisons de rompre avec mon conjoint.

A la suite d’une scène très violente, où j’ai du subir des violences physqiques, j’ai quitté mon domicile, avec ma petite fille, pour me rendre quelques jours à l’abris chez une amie. J’ai quitté une maison qui appartenenait au n°2 de la scientologie française d’après le journal « libération ». Je précise que le père de ma fille était informée du lieu où je me suis rendue, qu’il a d’ailleurs téléphoné régulièrement et a eu des nouvelles de sa fille. Ce détail précisé, mon amie était présidente d’une association, danseuse elle y enseignait la danse, dans un village nommé Sauve, dans le Gard.

A peine 3 jours passés chez elle, j’ai reçu la visite de l’huissier du village, et Maire de ce village, me remettant une convocation au tribunal de Créteil, mon ex concubin ayant saisi un JAf en urgence, prétextant les motifs suivants « disparition dans une secte, et kidnapping de l’enfant ». J’ai eu 15 jours pour trouver un emploi, un logment et un avocat ! j’ai contacté les gendarmes pour mettre en évidence le démentis de soupçon de secte pesant sur l’association Arcade. J’ai pris contact avec l’assistante sociale locale. En oct 98 je me suis retrouvée devant Mr Le Juge Rispe, qui ne m’a parlé que de secte ! L’inversion des rôles a été complète. Et je souhaite 10 ans plus tard toujours obtenir des démentis sur cette 1ère fausse accusation, gravement diffamatoire et très conséquentielle. Ce fut la 1ère allégation mensongère fatale pour moi. Quand à mes présomptions d’appartenance à une secte, ou pour être sobre un « réseau dinfluences » elles ont été plus fortes encore, lorsque j’ai eu à faire ensuite à une enquêtrice sociale, débarquant 3 jours après le rendu de décision de jugement. Cette femme m’a prévenue par téléphone et est arrivée en « stop » ;; ;;elle n’a cessé de manger pendant une heure, a refusé de rencontrer l’assistante sociale, le Maire, mon amie , ma fille, etc... elle est repartie en me promettant qu’elle reviendrait lorque je serai installée définitivement. Un mois plus tard, je me suis installée dans l’île de Ré, j’ai loué une maison, avec signature de bail, j’ai ensuite touché 3 mois après des allocations CAF, et j’ai trouvé un travail. En février 99, j’ai reçu à ma grande stupeur le rapport d’enquête sociale de Mlle Baranes, 70 pages d’inventions exorbitantes, tissu de diffimations, bien trop nombreuses pour les citer toutes. « Partie dans une communauté bizarre, j’étais en pleine errance dans l’île de Ré sans logement et sans emploi, je cherchais les coups et devanait hystérique car Mr ne me frappait pas, et enfin j’étais carrément accusée d’un vol que je n’ai jamais commis :une trentaine de chéquiers et de cartes de crédit professionnels et privés, ainsi que 20 ans de compatbilité. » En 2005, mon ex concubin pour la 7ème fois a remi comme pièce majeure cette fausse enquête , non faite dans le cadre d’une enquête sociale. J’ai appris dans ce long parcours qu’il n’y a pas en France de loi contre les sectes, par une association. De 99 à 2000, ma petite fille plaçée chez son père , suite à « l’enquête », a manifesté toutes sortes de troubles graves. J’en ai donc reféré à des autorités compétentes, en temps et en heure. J’ai pris la décision de garder mon enfant 15 jours pour mettre en place des soins, j’ai informé clairement son père, ainsi que Juges et Procureurs, Brigades des Mineurs. En mai 2000, ma fille dans un établissment scolaire a agressé une autre enfant, et cela avec violence et connotation sexuelle. Ma fille souffrait entre autres problèmes de troubles sexuels. Dysléxie, insomnies, anorexie, troubles psychologiques et violences. En juin 2000, devant un tribunal Pénal, accusée de non restitution d’enfant,l’avocate adverse, après avoir résumé « l’enquête sociale » me concernant, n’a pas eu de difficultés à faire entendre, « que j’avais inventé les troubles de ma fille, en proie au syndrôme dit de Munchausen ». En 2003, devant la Cour Pénale de Créteil, alors que l’audience est une nouvelle fois reportée,l’avoacte adverse a hurlé devant des centaines de personnes à mon sujet : « cette femme est folle à enfermer ».

Je suis donc en souffrance, depuis 10 ans, d’avoir été séparée de mon enfant, avec constat de nombre de manipulations mentales, de cette enfant, la présence du syndrôme d’aliénation parentale SAP, encore bien trop ignoré par la justice française. En souffrance car peur toujours de la présence d’une influence sectaire, tellement ce dosiier a été bien monté contre moi, avec la présence de corruption d’une enquêtrice, ainsi que d’autres nombreux dysfonctionnements juridiques, erreurs grossières et singulières de certains de mes avocats. En souffrance, car innocente, je ne peux accepter une telle manipulation, que je chercherai toujours à obtenir des démentis. Je suis à même de prouver la vérité, l’inversion des rôles complète, et de mettre en évidence le « comment truquer une procédure » tout en sachant que je ne suis pas la seule dans ce cas. Sur les erreurs juridiques , là pardonnez moi il y a matière à travailler. Que des innocents puissent être accusés, sans avoir les moyens de se défendre, me semble intolérable.


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