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Commentaire de seginus

sur Le mur du silence français autour de l'espéranto se lézarde


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seginus 1er septembre 2008 15:46

C’est simple, on voit ce qu’on parle en espéranto et en anglais après dix ans de pratique.
Une chose est sûr, c’est que comme tout ce qui sort un peu de l’ordinaire, les détracteurs critiques presques toujours sans jamais avoir essayé (ou alors 10 minutes, je me demande que ça aurait donné 10 minutes d’essaie de l’anglais).
Alors un mythe, non, ça n’en est pas, et c’est même explicable et expliqué dans la vidéo de Claude Piron. L’espéranto à une grammaire extrèmement simple, aucune exception, un vocabulaire grandement factorisable par l’ajout de sufix et prefixe, là où l’anglais va par exemple formé l’adjectif lunar avec le mot moon.
Donc ce n’est pas un mythe, mais c’est sûr qu’en se bloquant sur des a-prioris et des certitudes, on ne peut pas regarder.
Et pour information, ceux qui disent ça sont généralement des espérantistes. Bon nombre d’entre eux sont également anglophone et peuvent donc comparer. Alors que les détracteurs n’ont comme seul justifification que leur a-prioris du à je ne sais pas quoi.
En effet quand on a une solution pour faire communiquer toutes les nationalités simplement, sans l’utilisation d’interprète et préfère simplement dire : ce n’est pas possible, c’est le l’utopie, l’anglais c’est super, je comprend simplement pas ce qui peut motiver à avoir ce raisonnement.
Il n’y que deux millions de pratiquants de l’espéranto dans le monde, c’est très peu. Cependant, au vu des origines de ses pratiquants, c’est sufisant comme échantillon pour dire que ça fonctionne ou pas, que c’est rapide ou pas à apprendre et que c’est compréhensible par tous où pas et même d’en étudier l’évolution.
Je suis grandement étonné sur un tel site qui logiquement devrait être fréquenté par des gens un peu ouvert d’esprit et voulant voir un peu autre chose que ce que l’on nous dit de voir, un tel enfermement sur des préjugés qui n’apporte rien.


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