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Commentaire de Le péripate

sur C'est la crise finale !


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Le péripate Le péripate 4 octobre 2008 12:20

 Si vous dîtes que c’est pas contestable, je ne vois pas pourquoi dialoguer. Et j’aime toujours quand on affirme "vos idées sont puériles" ... Areuh, Areuh... Cela vous plaît-il que je m’exprime ainsi ?
Vous, par contre, vous déformez mes propos. Dire que l’on craint l’erreur, n’est pas opposer la "vérité et l’erreur". Faites vous une petite lecture de Popper, vous comprendrez ce que je veux dire.
Quand à un apport théorique qui aurait permis de dépasser la crise des années 30, c’est tout le contraire. Cette "crise" a été analysé, entre autre grâce à Keynes, comme une crise du capitalisme, alors qu’il s’agissait déjà d’une crise de l’Etat. Et cette pseudo-analyse a justement permis un renforcement de l’erreur, dont nous continuons à payer le prix. D’ailleurs, un papier sur la vraie histoire de la crise de 29 s’impose, tellement on a dit d’âneries à ce sujet.
Discréditer Keynes ? Non, pas plus que les anti-libéraux insistent toujours lourdement sur la visite de Friedman au Chili de Pinochet. C’est de bonne guerre, et, pardonnez, à l’époque où Keynes s’extasiait sur les "immenses possibilitées" offertes par la politique soviétique, tout ceux qui voulaient savoir à propos des grandes famines organisées par Staline le pouvaient.
Quand à Parway, qui, croyant être narquois, fait remarquer que nous allons dans le mur sans Marx, nous y allons bien, avec Keynes, et que justement, le but de ma digression sur Keynes avait pour but de montrer la parenté entre les deux. 
Comment appellerait-on quelqu’un, qui ayant trop chaud, se rajouterait un pull ? Un....


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