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Commentaire de armand

sur Jean-Marie Gustave Le Clézio, prix Nobel de littérature 2008


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armand armand 10 octobre 2008 11:28

Notons qu’on peut apprécier un auteur et, surtout, reconnaître sa grande valeur, sans pour autant en être un inconditionnel. J’ai nomme le Chercheur d’or, mais il est vrai que par moments j’ai eu du mal à suivre. Il n’empêche, ce roman m’a laissé des impressions, des images, des idées indélibiles qui font désormais partie de mon paysage mental.

Ce qui est fameux chez Le Clezio, c’est qu’on peut en avoir plusieurs lectures.

Pour ma part, j’ajouterais à la liste des nobélisables Patrick Modiano. Là encore, une histoire de goût, on rentre dans son univers ou on n’y rentre pas, et on peu facilement le résumer à quelques motifs obsédants, toujours les mêmes, liés à sa jeunesse, qu’il rassemble sur fond de beaux quartiers un peu tristes. Mais pour ceux qui s’y reconnaissent... pour ma part, je tiens Rue des Boutiques obscures pour un chef d’oeuvre, et Un cirque passe pour l’un des (petits) romans les plus bouleversants que j’aie lus.


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