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Commentaire de maharadh

sur Le retour du permis blanc ou comment désinformer ses lecteurs


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maharadh maharadh 28 juin 2009 09:13

@ l’auteur,
Non pardon, je ne suis pas d’accord sur ce que vous écrivez sur l’anonymat en effet en tant que homme de l’art vous n’êtes pas sans savoir que l’on ne change pas les règles d’une convention comme cela vous arrange. Agoravox commes 99% des forums laisse le choix à leurs intervenants , puisque vous mettez en avant cette règle et que vous vous avez choisi de paraître sous votre véritable identité encore que le fait de mettre un pict et un nom comme avatar n’est pas la preuve que vous êtes la personne telle que vous vous décrivez dans votre CV et puis m’enfin il faut comparer ce qui est comparable votre billet n’est me semble t’il que de la pub pour votre profession et donc nous pouvons comprendre pourquoi vous semblez être contre l’anonymat on n’est jamais aussi bien servi que par soi-même.

Perso je laisse des « généralités » comme vous l’écrivez mes généralités qui ont visiblement l’air de vous agacer, me trompè-je ?

Et pour terminer puisque dans votre réponse vous me reprocher d’attaquer votre profession ce qui est exact par ailleurs autant que les reproches que vous m’adressez en vaillent la peine, la majorité des personnes ayant eût à faire avec votre corporation comprendront ces traits d’humour et vous voudrez bien en relativisez les traits.

Par ailleurs en cliquant sur mon avatar vous avez également mes civilités ainsi que sur mon Blog personnel dont je vous joint le lien après ces quelques mots d’humour.

En même temps cela fera un peu de lecture pour les internautes qui en ont un peu ras le bol des sempiternels articles consacrés à la haine de l’autre.

Bien cordialement.
mahardh avatar librement choisi .

Pourquoi les serpents ne mordent-ils jamais les avocats ?
Courtoisie confraternelle...

Comment distinguer un avocat écrabouillé sur la route, d’un coyotte écrabouillé sur la route ? La dépouille du coyotte est précédée de marques de freinage...

Un médecin, un architecte et un avocat sont en train de diner dans le restaurant d’un club de golf. Ils comparent les mérites de leurs chiens respectifs, qu’ils présentent comme des animaux extraordinaires.

Un pari est lancé, et son montant ira au propriétaire dont le chien aura fait preuve du comportement le plus admirable.

Le médecin appelle son chien : « Hippocrate, viens ici ! » Le chien arrive alors et son maître lui ordonne d’accomplir son travail. Le chien fonce sur le practice de golf, déterre un grand nombre d’os qu’il rapporte au country-club ; il reconstitue alors un squelette humain complet et articulé. Son maître le félicite et lui donne une friandise.

L’architecte, peu impressionné, appelle son chien : « Compas, viens ici ! » Le chien arrive alors et son maître lui ordonne de faire son travail. Le chien se jette sur le squelette, le machouille et le réduit en petits morceaux qu’il réassemble afin de créer une maquette en modèle réduit du Taj Mahal. Son maître le félicite et lui donne une friandise.

L’avocat, peu impressionné, appelle son chien : « Bouse de merde, viens ici ! » Le chien arrive alors et son maître lui ordonne de faire son travail. Immédiatement, le chien sodomise les deux autres, leur vole leurs friandises, vend la maquette du Taj Mahal aux enchères aux autres membres du club afin de payer sa cotisation et part jouer au golf...

Un avocat vient d’arriver au Paradis, mais n’est pas satisfait de sa condition. Il se plaint et se voit rétorquer qu’il lui faut faire appel de sa situation, mais que le délai d’attente est de trois années avant que son appel soit entendu. Il se plaint encore plus, car trois années, c’est très long... mais ses remarques ne sont pas entendues.

Il est alors sollicité par le Diable qui lui affirme être en mesure d’arranger sa procédure dans les trois jours, si il consent à venir plutôt en Enfer. Enthousiasmé, l’avocat le questionne sur la brièveté du délai ; le Diable lui explique : « c’est simple, nous avons tous les Juges... ».

Le Ministère de la Santé a annoncé que l’on utiliserait plus de rats pour des expérimentations médicales. On utilisera plutôt des avocats, et ce, pour trois bonnes raisons :

- Il y a plus d’avocats que de rats.
- Les chercheurs s’attachent moins sentimentalement aux avocats qu’aux rats.
- Il y a des choses que les rats refuseront toujours de faire.

Assister un criminel avant qu’il soit arrêté, c’est être son complice.
Assister un criminel après qu’il soit arrêté, c’est être son avocat.

Il faisait si froid la semaine dernière que j’ai vu des avocats avec les mains dans leurs propres poches...

Un homme demande à un avocat : « quel est le montant de vos honoraires ? »
L’avocat lui répond qu’il est de 500€ pour trois questions.
l’homme lui demande alors : « n’est-ce pas un peu excessif ? »
et l’avocat lui répond : « Si. Quelle est votre troisième question ? »

Une vieille femme vient voir son avocat car elle doit lui payer une note d’honoraires de 50 €. Elle lui remet un billet de 50€, mais ne se rend pas compte qu’un autre billet du même montant est resté collé au premier.

Le soir même, l’avocat se rend compte de l’existence de ce second billet, et est alors tourmenté par une très grave question éthique : « Dois-je en informer mon associé ? »...

On demandait à un avocat si il aimerait devenir Témoin de Jéhovah. Il déclina l’offre car il n’avait pas vu l’accident, mais affirma être intéressé par la reprise du dossier...

Un sous-officier de la marine débarqué à Djbouti, se dirige vers un « djou-djou market » (marché africain où l’on vends des objets magiques).

Sur un stand, il y a des bocaux dans lesquels baignent des cerveaux. Le vendeur promet que le client qui ingère l’un de ces cerveaux sera immédiatement aussi intelligent que feu leur propriétaire.

Notre officier de marine plonge sans hésiter la main dans sa poche pour découvrir que sa fortune se limite à 10 dollars. Attiré par une cervelle de belle taille, il interroge le vendeur :

- quel est le prix de ce cerveau ?
- C’est le cerveau d’un chercheur, il coûte 10 000 €
- Et celui-ci ? demande-t-il à propos d’un cerveau plus petit.
- C’est un très beau cerveau, celui d’un médecin ; seulement 7000 €

Découragé par le prix excessif du cerveau du chercheur, puis du médecin, il est tenté de renoncer quand il aperçoit un cerveau minuscule au bout de l’echope.

- Combien me coûtera ce cerveau ridicule ? demande t-il au vendeur.
- ce cerveau coûte 200 000 dollars, c’est le cerveau d’un avocat.
- Voyons, comment un si petit cerveau peut-il coûter aussi cher ?
- Mon pauvre ami, lui répond le vendeur, vous n’avez pas idée du nombre d’avocats qu’il nous a fallu tuer pour récolter ces petits bouts de cervelles.
  
Humour ? Questions réellement posées à des témoins par des procureurs ou des avocats durant des procès et, dans certains cas, il y a la réponse donnée par des témoins futés. Ces phrases sont extraites d’un livre appelé « Disorder in the Court ». À part la traduction, les phrases ont été dites exactement comme c’est écrit.

Avocat : Qu’a donné le prélèvement de tissu vaginal ? Témoin : Des traces de sperme.
Avocat : Du sperme masculin ?
Témoin : C’est le seul que je connaisse.

Avocat : Avez-vous couché avec lui à New York ?
Témoin : Je refuse de répondre à cette question.
Avocat : Avez-vous couché avec lui à Chicago ?
Témoin : Je refuse de répondre à cette question.
Avocat : Avez-vous couché avec lui à Miami ?
Témoin : Non.

Avocat : Ce matin du 25 juillet, vous vous êtes rendu, à pieds, de votre ferme à l’étang à canard ?
Témoin : Oui.
Avocat : Donc, vous êtes passé à quelques mètres de l’enclos à canard ?
Témoin : Oui.
Avocat : Avez-vous remarqué quelque chose de spécial ?
Témoin : Oui.
Avocat : Bien, pouvez-vous dire à la cour ce que vous avez vu ?
Témoin : J’ai vu George.
Avocat : Vous avez vu George, l’accusé dans ce procès ?
Témoin : Oui.
Avocat : Pouvez-vous dire à la cour ce que George faisait ?
Témoin : Oui.
Avocat : Bien, pouvez-vous le dire s’il vous plaît ?
Témoin : Il avait son truc dans un des canards.
Avocat : Son « truc » ?
Témoin : Vous savez, sa b…. Je veux dire, son pénis.
Avocat : Vous êtes passé près de l’enclos à canard, la lumière était bonne, vous étiez sobre, vous avez une bonne vue, et vous avez clairement vu ce que vous nous avez expliqué ?
Témoin : Oui.
Avocat : Est-ce que vous lui avez dit quelque chose ? Témoin : Bien sûr !
Avocat : Que lui avez-vous dit ?
Témoin : « Bonjour George ».

Question : Quelle est le jour de votre anniversaire ? Réponse : 15 juillet.
Question : Quelle année ?
Réponse : Chaque année.

Question : Dans quoi êtiez-vous au moment de l’impact ?
Réponse : Un sweat-shirt Gucci et des Reeboks.

Question : Cette maladie, affecte-t-elle vraiment votre mémoire ?
Réponse : Oui.
Question : Et de quelle manière cela affecte-t-il votre mémoire ?
Réponse : J’ai oublié.
Question : Vous avez oublié. Pouvez-vous nous donner un exemple de ce que vous avez oublié ?

Question : Quelle fut la première chose que votre mari vous a dite quand il s’est réveillé ce matin-là ?
Réponse : Il a dit « Où suis-je, Cathy ? ».
Question : Et pourquoi cela vous a-t-il mise en colère ?
Réponse : Mon nom est Susan.

Question : Et à quel endroit a eu lieu l’accident ?
Réponse : Approximativement au kilomètre 499.
Question : Et où se trouve le kilomètre 499 ?
Réponse : Probablement entre les kilomètres 498 et 500.

Question : Le plus jeune fils, celui de 20 ans, quel âge a-t-il ?

Question : Étiez-vous présent quand votre photo a été prise ?

Question : Était-ce vous ou votre plus jeune frère qui fut tué durant la guerre ?

Question : Vous a-t-il tué ?

Question : À quelle distance étaient les véhicules au moment de la collision ?

Question : Vous étiez là jusqu’à ce que vous partiez, est-ce exact ?

Question : Combien de fois vous êtes-vous suicidé ?

Question : Elle avait trois enfants, vrai ?
Réponse : Oui.
Question : Combien de garçons ?
Réponse : Aucun.
Question : Il y avait des filles ?

Question : Docteur, combien d’autopsies avez-vous effectuées sur des morts ?
Réponse : Toutes mes autopsies on été effectuées sur des morts.

Question : Toutes vos réponses doivent être orales. À quelle école êtes-vous allé ?
Réponse : Orale.

Question : Vous souvenez-vous à quelle heure vous avez examiné le corps ?
Réponse : L’autopsie a commencé vers 20h30.
Question : Et M. Dennington était mort à cette heure ?
Réponse : Non, il était assis sur la table à se demander pourquoi je faisais une autopsie.

Question : Docteur, avant de faire votre autopsie, avez-vous vérifié le pouls ?
Réponse : Non.
Question : Avez- vous vérifié la pression sanguine ?
Réponse : Non.
Question : Avez-vous vérifié s’il respirait ?
Réponse : Non.
Question : Alors, il est possible que le patient ait été vivant quand vous avez commencé l’autopsie ?
Réponse : Non.
Question : Comment pouvez-vous en être certain, Docteur ?
Réponse : Parce que son cerveau était sur mon bureau dans un bocal.
Question : Mais le patient ne pouvait-il quand même pas être encore en vie ?
Réponse : Il est possible qu’il ait été encore en vie et en train d’exercer le métier d’avocat quelque part

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