4 novembre 2008 (LPAC) — Alors que la planète subit une
chute drastique de la production de biens indispensables au maintien de
sa population, le Fonds mondial pour la nature (anciennement World
Wildlife Fund) a publié le 29 octobre son Rapport Planète vivante
(Living Planet Report 2008), affirmant que, puisque « les besoins des
hommes en nourriture, eau, énergie et matériaux » représentent la plus
grande menace pour la biodiversité, la consommation humaine devrait
être réduite d’au moins 30% — pour commencer.
Selon ce rapport, plus des trois quarts de la
population mondiale vivent dans des pays dont la consommation dépasse
leur bio-capacité (exprimée sous forme d’« empreinte écologique »). Les
auteurs en viennent à demander la « réduction de la population, de la
consommation individuelle et des ressources utilisées ou des déchets
émis pour produire des biens et des services ». Pour la première fois,
le WWF s’en prend même à la consommation d’eau.
Ce rapport, dont les recommandations, si elles étaient
appliquées, conduiraient à la mort de centaines de milliers d’hommes, a
été co-rédigé par des membres de la Société zoologique de Londres. A
l’origine du WWF, on trouve le prince Bernard des Pays-Bas et son
co-penseur, le Prince Philip d’Edimbourg, le prince consort de la Reine
Elisabeth II d’Angleterre. Le prince Bernard était un
membre des SS, qui, contraint de démissionner du parti en vue de sa
fonction royale, signa sa lettre de démission par un « Heil Hitler ! ».
Le critère d’« empreinte écologique » dont se sert le
WWF fut élaboré par une fondation britannique, l’Optimum Population
Trust, qui fait ouvertement campagne pour réduire des deux tiers la
population mondiale afin de la ramener à deux ou trois milliards
d’individus.