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Commentaire de Paul Villach

sur De « La danse du diable » à « L'homme qui danse », de Philippe Caubère : une salutaire méditation sur le théâtre depuis vingt-sept ans


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Paul Villach Paul Villach 10 novembre 2006 19:10

Rassurez-vous ! Je partage votre enthousiasme ! Vous dirais-je que, travaillant à Alger dans les années 80, il m’est arrivé de prendre l’avion pour Paris, juste pour un soir, et d’emmener mes enfants à seul fin d’aller revoir et leur montrer Philippe Caubère qui se donnait au « Théâtre Édourd VII », si je me souviens bien ? C’est pas de l’enthousiasme, ça ? Du coup, mon fils a eu envie de faire du théâtre et il a même joué dans un cadre scolaire le prologue de « La danse du diable ».

Seulement, j’ai voulu aller au-delà de cet enthousiasme qu’il est vain de manifester, car les lecteurs peuvent ne pas le partager. J’ai préféré me poser la question de savoir ce que les spectacles de Caubère que j’ai courus, - comme vous, je suppose - depuis 1979, à Chatenay-Malabry, à Aigues-Mortes, à Avignon..., m’avaient appris. Pardonnez-moi si je n’ai pas été exhibitionniste. Paul VILLACH


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