• AgoraVox sur Twitter
  • RSS
  • Agoravox TV
  • Agoravox Mobile


Commentaire de charmord

sur 11/09 : Un nouveau MacCarthysme


Voir l'intégralité des commentaires de cet article

charmord 18 septembre 2009 10:42

Non, il n’y avait peut-être pas d’explosif dans les WTC


Peut-être effectivement... Mais peut-être qu’il y en avait aussi parce que l’explication donnée par la théorie officielle du Nist pour expliquer des témoignages rapportant des phénomènes explosifs à trois cents mètres sous le lieu du crash n’apparaît pas satisfaisdante pour tout le monde...

La vrai question est de savoir comment peut-on cautionner que, vu ces témoignages nombreux et les phénomènes explosifs et meurtriers qu’ils décrivent, les organes chargés de l’enquête n’aient à aucun moment cherché à vérifier si des explosifs avaient pu être utilisés par les terroristes (quels qu’ils soient).

http://www.youtube.com/watch?v=R6iI...

http://www.firehouse.com/terrorist/911/ … laich.html


Le pompier a pris l’escalier B et, quand il est arrivé au troisième étage du lobby, il a constaté que les ascenseurs étaient complètement cramés sur trois faces. Lui et les pompiers qui l’accompagnaient ont forcé la porte le passage de cet ascenseur et ont constaté que les occupants étaient non seulement brûlés mais incinérés. Cela sentait fortement l’essence (kerosene en anglais ne veut pas seulement dire jet fuel mais vise de manière plus large tous les carburants liquides, si je ne m’abuse). Ceci étant, il ajoute après cette métaphore : Cela sentait la lampe à kerosène qu’on utilise quand on campe. Son supérieur le Lieutenant Foti a directement fait le lien avec le jet fuel de l’avion qu’un de leur collègue avait vu (et qui est décrit par celui-ci comme un petit avion mais soit, pas la peine d’ouvrir ce débat). Les ascenseurs du lobby principal avaient leur portes littéralement explosées mais il n’y avait personne semble-t-il, aux alentours. 

Ce qui l’avait frappé directement en rentrant dans l’immeuble par le lobby était que les fenêtres étaient brisées et que deux véhicules étaient en train de brûler à l’entrée. Il y avait des gens brûlés sur la rue. Ils sont rentré par l’énorme fenêtre explosée dans le lobby. Il y avait une dame qui criait en se demandant comment elle avait été brûlée. Elle était dans le lobby et tout d’un coup, elle s’est rendu compte qu’elle était en feu. Quelqu’un est accouru avec un extincteur et l’aspergeait d’eau. En plus, en face des ascenseurs, il y avait un bureau où gisaient des cadavres. Parmi ceux-ci, celui d’un agent de sécurité dont il reconnut le vêtement et qui semblait toujours assis sur sa chaise mais grillé, mort et incinéré. Il a aussi constaté que le bureau de l’entrée où se trouvait le cadavre était fondu, de même d’ailleurs que le elevator bank (hall d’ascenseur).

Le fuel enflammé a-t-il pu traverser un conduit borgne de tois cent mètres pour finier par provoquer ce genre de dégât corporel et matériel ?

Cette pré-orientation de l’enquête dans un sens déterminé (Il n’y a pas eu d’explosifs ; d’ailleurs nous ne les avons pas recherchés car il n’y en avait pas...) ne peut à l’évidence qu’éveiller le doute chez toute personne normalement constituée, qui si elle est animée d’un tant soit peu de sens civique, demandera à ce qu’on la complète avec tous les éléments disponibles...

Apparemment, rares sont les politiques et les journalistes qui sont doués de cette faculté de douter... 




Voir ce commentaire dans son contexte





Palmarès