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Commentaire de Philou017

sur Vaccinations et solidarité


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Philou017 Philou017 25 décembre 2009 13:57

Mr Arié.
On se demande sur quoi repose votre conviction du réel bénéfice des vaccins. La plupart des études là-dessus proviennent ou sont subventionnées par l’industrie pharmaceutique, et sont souvent partielles et orientées, partant sur l’à-priori de l’action positive d’un vaccin, ne prenant en compte que certains éléments et négligeant ou minimisant nombre d’effets négatifs.

Vous dites sur la variole :
« c’est ainsi que la variole a pu être totalement éradiquée de la planète grâce à un vaccin comportant des risques rares mais graves, mais ayant fait un nombre certain de victimes »

La réalité est inquiétante :

« L’efficacité du vaccin contre la variole
Toute la politique vaccinale actuelle repose sur l’efficacité mainte fois claironnée de l’efficacité des campagnes massives de vaccination contre la variole qui auraient permis d’éradication de ce terrible fléau. Pourtant, après avoir constaté que la dernière campagne mondiale de vaccination en 1960 avait déclenché des épidémies de variole chez des populations vaccinées à 95%, notamment en Inde et au Brésil, l’Organisation Mondiale de la Santé exprimait en septembre 1971 « à l’unanimité l’opinion que la vaccination contre la variole ne devrait pas être recommandée comme procédé de routine dans la première enfance, étant donné que le nombre de complications graves pouvant survenir pendant cette période est hors de proportion avec le risque de complications entraînées par la variole elle-même. ». Le Dr Henderson, chef du service d’éradication de la variole à l’OMS décidait alors en 1972 d’abandonner la vaccination de masse au profit d’une stratégie de « surveillance-endiguement » avec laquelle « on parvenait à faire complètement échec à la transmission, même lorsque l’incidence variolique était élevée et les taux d’immunisation très faibles. » Méprisant les recommandations de l’OMS, la France continuera pourtant de vacciner systématiquement jusqu’en 1982 alors que le dernier cas de variole avait été dépisté en 1954 chez un enfant vacciné, contaminé par son père militaire qui avait reçu un rappel trois semaines auparavant. 67 personnes furent contaminées dont 15 enfants et 3 adultes non vaccinés. On déplora 14 morts tous vaccinés dont deux membres de l’hôpital qui s’étaient fait revacciner à l’annonce de la maladie (Cf, étude de Guennebaud, site de LNPLV). Après avoir rappelé que « c’est grâce à l’obligation de la vaccination antivariolique qu’a pu être obtenue l’éradication mondiale » de ce terrible fléau (JO du11/06/2001, page : 3425), Bernard Kouchner décidera, dans le cadre du bioterrorisme de relancer la fabrication de 5 millions de doses de vaccin contre la variole en octobre 2001. 50 millions de doses supplémentaires seront ensuite commandées lors de la guerre d’Irak. Selon le Pr Denis, membre du Conseil supérieur d’hygiène publique et du comité technique des vaccinations, « il n’est pas question de vacciner ou de revacciner la population française devant une menace hypothétique, car si les vaccins contre la variole sont très efficaces, ils sont assez mal tolérés et le bénéfice/risque n’est pas à ce jour en faveur d’une vaccination de masse » (Le Populaire du Centre, 12 octobre 2001). Le très médiatique Bernard Kouchner chiffrera même ce risque à 350 à 400 encéphalites mortelles par an. Entre 1954 - dernier cas français - et 1984 qui marqua l’arrêt tardif de la vaccination en France, plus de 11 000 nourrissons sont ainsi décédés grâce à cette vaccination plus dangereuse qu’efficace. On comprend mieux pourquoi il a fallu 28 ans de procédure pour que le Conseil d’Etat reconnaisse la responsabilité de l’Etat dans la survenue d’une grave complication de ce vaccin administré en 1960. »
Dr Marc Vercoutere
http://www.amessi.org/Les-vaccins-sont-ils-efficaces-et,670

Vous affirmez : « en Europe, les derniers cas de poliomyélite remontent à 1992, aux Pays-Bas, parmi les membres d’une secte refusant les vaccinations ; la campagne de vaccination de masse a fait passer son incidence de 350 000 nouveaux cas par an en 1988 à environ 1 500 en 2008, et son éradication est totale sur tout le continent américain, en Europe et dans les régions OMS du Pacifique occidental, Chine comprise. »

Pourtant :
"Ceux qui ont connu les années 40 et 50 se souviennent des photos d’enfants dans des poumons d’acier et des interdictions d’aller sur les plages publiques par crainte de cette maladie terrifiante : ils ne peuvent pas oublier la peur qui régnait à l’époque. La polio n’existe pratiquement plus aujourd’hui, mais la peur persiste et on pense en générai que la maladie a été éliminée grâce au vaccin. Cela ne surprend personne, car la campagne vaccinale a été conduite de manière tapageuse. Pourtant, il n’existe pas de preuve scientifique indiquant que le vaccin a fait disparaître la maladie. La polio a également disparu dans les autres parties du monde où il n’a pas été utilisé.

En revanche, les parents doivent savoir que la plupart des cas de polio actuels sont dus au vaccin. En 1977. Jonas Salk, inventeur du vaccin antipolio fait avec des virus tués, affirma que les cas de polio aux Etats-Unis, depuis 1970, étaient probablement secondaires au vaccin polio vivant qu’on utilise en routine. Le débat continue entre les tenants des vaccins tués et ceux des vaccins vivants. Les partisans du virus tué disent que le virus vivant peut être responsable des cas de polio et les défenseurs du virus vivant pensent que le virus tué n’offre pas une protection suffisante et augmente même la vulnérabilité à la maladie.

Ce débat m’offre le luxe rare de rester confortablement neutre. Je pense que les deux camps ont raison et que l’utilisation de l’un ou de l’autre des vaccins va augmenter, et non diminuer, le risque pour votre enfant d’attraper la poliomyélite !"
En bref, le meilleur moyen de protéger votre enfant est de veiller à ce qu’il ne soit pas vacciné !
Dr R. Mendelsohn, pédiatre
http://users.swing.be/carrefour.naissance/biblio/ES/chap19.htm#LA%20POLIOMY%C3%89LITE

Je pourrais multiplier les contestations.
Par exemple :
http://users.swing.be/carrefour.naissance/biblio/ES/chap19.htm

Je pense que l’être humain dispose au départ d’un formidable outil, le système immunitaire. Un système immunitaire fort et vigoureux est la meilleure protection contre toute sorte de maladies. Aider à l’entretenir devrait être la priorité de tout médecin, plutôt que de gaver les gosses de vaccins chimiques, qui contribuent à l’affaiblir.

Peut-on vivre sans vaccin ?
Les vaccins agissent comme des OGM
Vaccinations : Facteurs de dégénérescence de l’espèce humaine

De nombreux problèmes liés aux vaccins sont occultés par les statistiques. De nombreuses maladies auto-immunes sont soupçonnées de survenir après vaccination. Très peu d’études sérieuses sont faites là-dessus, et la médecine se contente de nier et de rejeter toutes les présomptions, faute de preuve avérée qu’elle ne cherhce surtout pas..
Mais alors qu’on dépense des milliards pour la recherche de nouveaux vaccins, combien est dépensé pour vérifier ou infirmer ces doutes plus que sérieux, et présentant de solides arguments ?

Tant que la validation des vaccins sera entre les mains de l’industrie pharmaceutique ou de ses affiliés, il y a tout lieu de se méfier des vaccins et de les éviter.
Tant que les médecins se retrancheront derrière des études partielles et partiales, et refuseront dans leur ensemble de considérer les effets néfastes des vaccins, je refuserai de leur accorder la moindre confiance.

Il est urgent d’exiger des enquêtes sérieuses et impartiales sur toutes les accusations concernant les effets négatifs des vaccins, ce qui n’est absolument pas fait à l’heure actuelle.

Personnellement, ca fait 20 ans que je ne me vaccine plus et je m’en porte très bien.


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