Haïti, ou quand le voyeurisme, par la complaisance de médias vampiriques, se fait religiosité, culte satanique d’un malheur à se partager, symbole sacrificiel à vénérer, douleurs expiatoires pour mieux panser les nôtres !
Jamais l’homme, cédant aux impératifs de son humanité pervertie -pour en faire ses humanités !-, ne s’est-il à ce point placé plus bas que l’animal !
L’animal n’est ni voyeur ni exhibitionniste, de telles perversions ne pouvant qu’être le lot... de ce grand névrosé qu’est le moderne !