A cet effet, la vindicte dont semble poursuivi aujourd’hui un
établissement comme Goldman Sachs fournit un exutoire commode et
assurément bienvenu à des Gouvernements et à des institutions
(Européennes) dont l’espoir est de masquer ainsi leurs propres
responsabilités et carences.
Elle est bien bonne, celle là !
Le système monétaire, entièrement tenu par les banques, OBLIGE les états à s’endetter.
Quand ils sont endettés au delà de leurs capacités de remboursement (par les taux de crédit imposés par les usuriers bancaires, les mêmes banques les aident à dissimuler leur situation comptable, en encaissant des banéfices astronomiques, et, au bout du compte, ce seraient les états seuls responsables, et les banques , totalement dédouanées du fait que « La structuration de ce type de produits étant un processus parfaitement légal »
Légal vis de vis de quelles lois ?
Il n’y a AUCUNE LOI, pour réglementer les opérations bancaires, comme la crise vient de le montrer !
Et, au bout du compte, les pays (donc, ici, la Grèce) se trouvent contraints à de drastiques plans sociaux, dont vont souffrir, évidemment, les grecs déjà les plus démunis, quand les banques, elles, dont Lehman Brothers y auront encaissé de somptueux bénéfices
C’est beau de voir Monsieur Santi défendre un système qui le nourrit, et ses mafias, en accusant ceux qui en sont victimes !
Réforme monétaire, et vite ; avant que l’ensemble des citoyens du monde soit exsangue, au profit d’une minorité de mafieux qu’ose encore défendre Monsieur Santi.