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Commentaire de jack mandon

sur La genèse et l'inflation romantique à tous les temps


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jack mandon jack mandon 3 avril 2010 04:34

Françoise

Aujourd’hui c’est pareil mais, fraternellement
Ils branchent leur destin aux « abonnés absents »

L’absence, le manque...le défaut de cuirasse romantique, le décalage entre le pouvoir et le vouloir. C’est une caractéristique humaine, « le pécher originel », la faute commune, mais c’est de l’humain dont il s’agit...la femme peut être concernée.
Dans mon titre j’évoque l’inflation, c’est à dire l’inflation des désirs. Chez la tête de turc que vous prenez pour cible, le besoin fusionnel traduit une fonction sentiment infantile. C’est le point commun des romantiques, don juan appartient à cette famille en quête de l’inaccessible étoile. Il faut se rendre à l’évidence que cela n’exclut pas une forme de générosité...très abstraite pour une femme qui porte l’humanité viscéralement et se trouve naturellement centrée dans sa maternité.
Votre intervention montre combien la femme dans le destin du monde, pour plus d’humanité, est une évidence et complète celle de l’homme qui ne répond pas aux même critères comportementaux.
Pour revenir à Rousseau, il a perdu sa mère à la naissance, il a donc rêvé la femme, a projeté toute sa vie sur des femmes de passage...par la même occasion, il a fait de même avec l’humanité. Son oeuvre repose sur un sophisme, des bases humainement incertaines.
La vérité se promène entre votre vision, celle d’Armelle qui n’est pas plus tendre et celle de Sisyphe par exemple qui souligne les aspects plus créatifs de Rousseau.
Les paradoxes de Rousseau sont ceux de l’humanité entière.
Ne faites pas ce que disent nos amis Suisses, ne jetez pas l’enfant avec l’eau du bain et surtout faites de la politique avec Armelle, on a besoin de votre différence.
Merci pour « Jean-Jacques » 


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