En plus de la cupidité, il y a aussi un autre grand défaut que la société cherche à présenter comme une grande qualité : la prise de risques aussi nommée, audace.
Traders ou marées noires (dûes à des économies sur la sécurité, qui n’est rien d’autre qu’un pari risqué), il faut juste voir de la cupidité inconsciente dans les prises de risque, car en cas d’échec sur le pari, ce sera toujours le contribuable (ou la nature) qui paiera.
Notre société cultive la cupidité et l’inconscience, ce que l’on pourrait appeler, la négation de l’homme car elle le place en-dessous de l’animal (l’animal est inconscient mais pas cupide). Le cinéma (en particulier américain) est un grand vecteur de diffusion pour transformer ces graves défauts en grandes qualités.
Quand une société met en avant les pires imbéciles avec les pires défauts, on peut s’attendre à des jours sombres. Le siècle des Lumières semble bien loin.