Je tiens ici en complément à cet
excellent article sur l’émergence manifeste d’un système maniaco-répressif parano-fascistoïde au Canada, à porter à la connaissance
des lecteurs : en premier lieu la définition internationale de l’acanadophobie telle que validée par l’Association Mondiale de Phobichiatrie Psychodermique
et dans un second temps informer quant aux avancées dans le traitement de cette
pathologie autant lourde qu’handicapante.
Définition reconnue et validée par
l’AMPP :
L’acanadophobie est une
phobie assez fréquente et qui semble stimulée généralement par un environnement
où évoluent l’espèce cervidée Rangifer tarandus et l’espèce végétale Acer saccharum : elle se manifeste principalement
par des crises de panique hystérosudative
produite dans les cas les plus fréquents par des stimuli audiovisuels : entraînant différentes réactions canadaphylactiques d’intensité variable :
les plus connues et graves étant la célinodionite
aigue eczémoratoire (voir chronique chez certains) ainsi que une psychorépugnance compulso-répulsive pour des
symboles ou produits typiques du terroir&folklore
post-acadien , pour exemple : l’accoutrement traditionnel post-acadien connu
dans les langues indigènes sous le nom de : shëmi zakarö ou bien encore la spécialité culinaire par excellence des Brittons Canadais : le Mapël
Seeröp Pankèk .
Jusqu’à
présent aucune recherche n’a su apporté de réponse significative ou définitive
quant à son origine, mais une transmission politicogénétique semble avoir
été clairement mise en évidence chez les patients les plus acanadophobes ; ceci n’excluant
cependant pas toutefois la possibilité que d’autres facteurs déclenchants puissent
jouer : notamment avec le phénomène mondial actuel qui voit la
colonisation accrue de biotopes sonores par l’espèce deeva quebecca castaforiensis
jusque là inconnue en dehors de l’espace
acado-algonquin où elle est endèmique
voir épidémique.
Concernant l’efficacité des diverses
thérapies envisagées, seule une intense audiothérapie semble réussir : par
désensibilisation systématiques des neurorécepteurs à la caribouïne et exposition au stimuli anxiogènes visant à
obtenir une habituation et une extinction de l’angoisse ressentie.
Après avoir établit une liste de
situations invalidantes avec son patient, le thérapeute mettra en situation d’exposition
in vivo et audio le patient :
soit tactilostimulation digitale avec
usage d’un (ou plusieurs) exemplaire(s) AOC
de shëmi zakarö, soit gastrothérapie ingestative à base de mapël
seeröp pankèk ( certifiée d’origine
biologique : OGM-free) et dans les cas les plus extrêmes : hyperstimulation tympanique à base de dionite
concentrée.
Professeur Eckhart von Treelok,
phD en Métaphysique
acrobatique du Tube et Gérontochiatrie rectale, Enseignant-chercheur en
Théorie de la Turpitude à l’Université de Barvard ( Etat de Xanadu)
Professeur honoris causeur à l’Université Alma Mateur de Shitazuwang
(province de Sushi Oriental), titulaire d’une chaire en physique des condoms
à l’Université Populaire et Socialiste de Vodkagrad ( Oblast de Zubrowka)