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Commentaire de Professeur Eckhart Von Treelok

sur Le Canada me fait peur


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Professeur Eckhart Von Treelok Professeur Eckhart Von Treelok 1er juillet 2010 18:50

Je tiens ici en complément à cet excellent article sur l’émergence manifeste d’un système maniaco-répressif parano-fascistoïde au Canada, à porter à la connaissance des lecteurs : en premier lieu la définition internationale de l’acanadophobie telle que validée par l’Association Mondiale de Phobichiatrie Psychodermique et dans un second temps informer quant aux avancées dans le traitement de cette pathologie autant lourde qu’handicapante. 

Définition reconnue et validée par l’AMPP :

L’acanadophobie est une phobie assez fréquente et qui semble stimulée généralement par un environnement où évoluent l’espèce cervidée Rangifer tarandus et l’espèce végétale Acer saccharum  : elle se manifeste principalement par des crises de panique hystérosudative produite dans les cas les plus fréquents par des stimuli audiovisuels : entraînant différentes réactions canadaphylactiques d’intensité variable : les plus connues et graves étant la célinodionite aigue eczémoratoire (voir chronique chez certains) ainsi que une psychorépugnance compulso-répulsive pour des symboles ou produits typiques du terroir&folklore post-acadien , pour exemple : l’accoutrement traditionnel post-acadien connu dans les langues indigènes sous le nom de : shëmi zakarö  ou bien encore la spécialité culinaire par excellence des Brittons Canadais : le Mapël Seeröp Pankèk .

Jusqu’à présent aucune recherche n’a su apporté de réponse significative ou définitive quant à son origine, mais une transmission politicogénétique semble avoir été clairement mise en évidence chez les patients les plus acanadophobes ; ceci n’excluant cependant pas toutefois la possibilité que d’autres facteurs déclenchants puissent jouer : notamment avec le phénomène mondial actuel qui voit la colonisation accrue de biotopes sonores par l’espèce deeva quebecca castaforiensis  jusque là inconnue en dehors de l’espace acado-algonquin où elle est endèmique voir épidémique.  

Concernant l’efficacité des diverses thérapies envisagées, seule une intense audiothérapie semble réussir : par désensibilisation systématiques des neurorécepteurs à la caribouïne et exposition au stimuli anxiogènes visant à obtenir une habituation et une extinction de l’angoisse ressentie.

Après avoir établit une liste de situations invalidantes avec son patient, le thérapeute mettra en situation d’exposition in vivo et audio le patient : soit tactilostimulation digitale avec usage d’un (ou plusieurs) exemplaire(s) AOC de shëmi zakarö, soit gastrothérapie ingestative à base de mapël seeröp pankèk ( certifiée d’origine biologique : OGM-free) et dans les cas les plus extrêmes : hyperstimulation tympanique à base de dionite concentrée.    

Professeur Eckhart von Treelok,

 phD en Métaphysique acrobatique du Tube et Gérontochiatrie rectale, Enseignant-chercheur en Théorie de la Turpitude à l’Université de Barvard ( Etat de Xanadu) 

Professeur honoris causeur à l’Université Alma Mateur de Shitazuwang (province de Sushi Oriental), titulaire d’une chaire en physique des condoms à l’Université Populaire et Socialiste de Vodkagrad ( Oblast de Zubrowka)

 

 

 

 


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