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Commentaire de morice

sur Éloge et défense de Christine Boutin


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morice morice 3 juillet 2010 10:51

ancien Action Française, l’auteur.... 


le fatras dans la tête du monsieur expliqué par lui-même ici :
http://www.lesepees.fr/files/Entretien_GilbertCOMTE_complet.pdf
un oubli dans son texte ici :

Mes bonnes relations avec MITTERRAND continuent si bien que lorsqu’il devient Président, je deviens un habitué de l’Elysée. Avec le changement de direction au Monde, l’atmosphère n’est plus la même. V oilà alors qu’à TF1, MITTERRAND pose comme conditions à la nomination d’Hervé BOURGES comme Président, l’embauche comme consultants d’Eric ROULEAU, Paul-Marie de la GORCE et moi-même. Je devais livrer mes réflexions sur la télévision au Président, toujours avec mon regard personnel.

En 85, il souhaite me nommer à la Haute Autorité de la Communication audiovisuelle parce qu’il a besoin dans cette institution d’un homme de droite lié à sa personne. Quiconque m’accorde sa confiance a droit aussitôt à ma fidélité. MITTERRAND prévoyait la défaite des siens aux législatives de mars 1986. Il souhaitait faire barrage aux chiraquiens au sein de la médiasphère. Voilà ma période de compagnonnage avec les mitterrandistes, qui ne s’est accompagnée d’aucune profession de foi républicaine. Seuls mes rapports avec MITTERRAND et mes connaissances dans certains domaines la justifiaient.

La Haute Autorité tombe en 1987. En 1988, je rallie le cabinet de Jean-Pierre CHEVÈNEMENT, alors Ministre de la Défense. Puis ce dernier quitte ses fonctions et me laisse dans le vide. Edith CRESSON me rattrape au vol quand elle devient Premier Ministre. Je lui fais alors part de mes inquiétudes par rapport au caractère éphémère de ces fonctions de conseil politique. J’ai ainsi été nommé Inspecteur Général de l’Administration du Ministère de l’Intérieur en Conseil des Ministres au tour extérieur. Cette fin de carrière m’a fait sourire : jamais le jeune royaliste rebelle vendant un journal interdit à côté de la rue CAMBACÉRÈS que j’étais, n’aurait cru finir dans une des hautes fonctions de la République.


ce qui s’appelle cracher au bassinet.. et ça vient nous parler de Tartuffe ? manque pas d’air, le bonhomme....


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