Les stades et leurs jeux annoncent peut-être la fin, comme à Rome.
Notre architecture et notre urbanisme indiquent nos hiérarchies, nos priorités. C’est technique et économique, c’est parfois bête comme la TGB. Ils indiquent également que nous ne voulons plus vivre ensemble, collectivement dans les stades et dans les ghettos, mais aussi individuellement dans les quartiers résidenciels. Notre civilisation s’épuise doucement, mais sans douceur. Les clandestins montent à bord de ce qu’ils croient être une arche de Noé, mais la ligne de flottaison à déjà disparue.
C’est peut-être là que réside nos prochaines grandes constructions. Dans des arches de Noé, terrestres, maritimes, spaciales, à moins que ce ne soit dans des murs imprenables .