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Commentaire de ddacoudre

sur Vers un effondrement généralisé du système ?


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ddacoudre ddacoudre 5 janvier 2011 12:17

 


bonjour dugué


pour y arriver il n’est pas nécessaire de faire appel à la numérologie qui affaiblie le raisonnement, mais plutôt imaginé que lorsque nous sommes capable d’en envisager la potentialité cela signifie que les événements y ayant concouru sont eu lieu et que nous ne pouvons revenir dessus. et effectivement les données mentionné comme la pollution les crises du systèmes produirons leurs effets. la seule question est quand ?

il ne nous reste comme nous le faions que des annonces spéculatives fautes de pouvoir disposer de tous les éléments.

mais il y a un terme qui peut être envisagé.

je fais un pari sur un futur fondé sur les progrès de notre intelligence cérébrale, d’un cerveau doté d’une capacité psychique extraordinaire pour développer une nouvelle richesse.

Je crois qu’à l’instar de l’imprimerie qui a marqué une étape importante dans la diffusion du savoir et de l’information, la connaissance des sciences de la physique, par la mécanique quantique, va marquer une autre étape dans le développement sociétal de notre civilisation. Il nous faudra regarder beaucoup de nos relations, ou « requalifier » beaucoup de nos relations sous son auspice, inventer d’autres mots, alors que d’autres rejoindrons les dictionnaires des mots rares et précieux, en mémoire du passé. Si la théorie du chaos permet d’exploiter la plus petite donnée économique, elle peut également nous permettre d’en mesurer son incidence à très long terme et d’envisager un regard sur notre existence, non plus à la seule mesure de nos perceptions sensorielles mais à celle de notre intelligence. Néanmoins, il nous faudra pour cela faire le même effort qui a suivi la découverte de l’imprimerie, créer un enseignement. Mais non plus seulement à destination des enfants, mais pour tous les adultes tout au long de l’existence, sans attendre quatre cents ans pour le mettre en œuvre. Ceci, pour que la démarche d’apprendre devienne un plaisir et non pas une souffrance, comme celle à laquelle nous avons réduit nos relations vitales avec le travail.

Ceci surtout, parce le savoir est l’élément dans lequel baigne notre nature culturelle et il nous faudra regarder notre existence à l’échelle de l’espèce et de sa durée. Chacun sachant prendre au quotidien au travers des mots, le plaisir que cela lui offre d’y appartenir. Pour réaliser cet objectif les hommes existent aujourd’hui. Il suffit peut-être de leur donner seulement un autre but qui soit autre qu’un but comptable.

 cordialement.


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