• AgoraVox sur Twitter
  • RSS
  • Agoravox TV
  • Agoravox Mobile


Commentaire de clostra

sur Faut-il abolir les 35 heures ?


Voir l'intégralité des commentaires de cet article

clostra 5 janvier 2011 13:23

Tous à nos calculettes. La plupart d’entre nous savent à peu près faire ça.

Sans parler des banques qui n’est pas de mon domaine, prenons l’exemple du médiator :

- les effets secondaires et autres tests de contrôle et finalement, globalement, tous les frais vont être pris en charge à 100% par la sécu (donc sans les mutuelles qui ont remboursé ces médicaments pour une somme x à fournir)- la sécu et autres RAM, c’est nos cotisations...obligatoires - un cadeau (quel cadeau ?) que leur fait généreusement notre très cher (oui c’est très cher !) Président avec NOS cotisation sociales obligatoires.

- l’AFFSAPS dont on nous dit qu’elle est financée en majorité (enfin, disons de façon suffisamment substantielle pour mieux retenir l’attention de cet organisme, du moins plus que son financement public : issu de nos cotisation sociales notamment obligatoires) par les laboratoires pharmaceutiques.

OK d’accord mais de quoi vivent les laboratoires pharmaceutiques ? de la vente de leurs médicaments remboursés par la sécu et autres RAM donc NOS cotisations

- et de conclure que : non pas admissible que ce soit la collectivité (lire « nos cotisations ») qui indemnise les plaignants victimes (qui auront à la prouver à grand frais de temps passé à constituer, rassembler, documents et preuves, de quoi perdre son souffle, surtout si on l’a déjà perdu) mais bien Servier dont la fortune est immense.

OK mais d’où lui vient cette fortune ? de la vente de médicaments remboursés par la sécu et autres RAM, donc NOS cotisations.

Enfin, combien de messages indésirables dans nos emails venant de propositions diverses de mutuelles Santé, qui devraient être bien à plaindre de tous ces déremboursements et pour certaines, avoir mis la clé sous la paillasson. Sauf que la paillasson vaut de l’or !
On ne les a pas beaucoup entendues dans ce débat de santé public...

Les Assurances se tiennent coïtes avant la déferlante, disons plutôt le typhon car ça va tourner plus d’une fois avant d’atteindre une cible potentielle qui sera, ça on en est sûrs : NOUS !


Voir ce commentaire dans son contexte





Palmarès