Décidément, je ne me ferai jamais, à la pensée des économistes.
Michel Santi écrit : « Les acquisitions de biens immobiliers, de terrains, d’œuvres d’art et bien-sûr d’or sont en effet – par définition – improductifs et représentent une aberration complète du point de vue d’une allocation d’actifs confiante parce que tournée vers l’avenir. »
Pour moi qui ne suis pas économiste, je crois que, à un acquéreur correspond un vendeur, et donc si l’acquéreur d’un bien immobilier ne fait pas une allocation d’actif « confiante parce que tournée vers l’avenir », peut-être que le vendeur, celui qui reçoit l’argent, hein !, peut-être que celui-là fera « bien comme il faut » ? Ou si ce n’est lui, ce sera peut-être son prochain ?
Bon, trève de plaisanterie ! pour moi, les économistes sont fâchés avec la comptabilité : ils ne considèrent jamais qu’un seul coté de la médaille, celle qui représente les intérêts des possédants. Et cela les conduit à énoncer des énormités du point de vue de la logique populaire.
Peut-être qu’ils ne nous disent pas tout ? MOnsieur Santi, que pensez vous de ma réflexion acquéreur vendeur ?