Tant que les manipulateurs seront aux commandes... on ne peut pas espérer grand chose de bon ! Ils tenteront toujours à faire porter par l’individu, le poids de leurs incapacités ! or l’impact de celles-ci surpasse de très loin celles de l’ensemble des individus qui composent la société prise en considération !

C’est ce paradoxe important qui fait que les médias, aujourd’hui et depuis une trentaine d’années, ne jouent plus leur rôle d’information... que dans les limites que le pouvoir en place leur accorde. Ils en sont réduits à l’heure actuelle au simple rôle de supports de propagande, rien de plus !

La décadence de notre monde est dû à la très large adoption des principes si bien formulés par Milton Friedman qui préconisent une « liberté » enrichissant toujours plus les déjà plus riches, au détriment des classes moyennes et les plus pauvres... engendrant des « chocs » très importants et une politique de violences amenant à rien les notions mêmes de démocratie...

Crier, haro sur les boucs-émissaires, montre simplement la pauvreté intellectuelle des forts en gu... et en rien ou plutôt en négatif, leurs capacités de gestion. C’est bien là que le bât blesse !

Les moyens utilisés pour imposer les idées ne sont révélateurs que de techniques... pas de l’intégrité de leurs adhérents... bien au contraire !

Notre monde aujourd’hui, risque fort de voir d’énormes conflits, seulement pour s’approprier les réserves pétrolières restantes, dans un premier temps, des autres produits nécessaires par la suite ! 

C’est le processus qui apparaît comme le plus plausible si le peuple se laisse aller au panurgisme auquel il a été formé et formaté... sa survie passe, à mon sens, par le rejet des politiques du désastre façon états-unis (et monde capitaliste dans l’ensemble). C’est à cette condition et à celle d’un remaniement drastique de l’ensemble des comportements sociaux revus sous le jour de la solidarité par exemple que notre « civilisation » toute entière peut espérer garder une lueur d’espoir de survivre sans devoir redouter les troubles fâcheux de guerres sans fins dans la logique conjuguée sur le thème « Avoir »...

On voit, tout le terrain à parcourir !

L’homme sera-t’il capable de relever ce défi qui à mon sens engage sa propre pérennité sur terre ? Mon optimisme à ce sujet est bien faible, l’expérience, jusqu’ici, semble démonter le contraire. Et mon propos est précisément d’essayer d’éviter le pire.... pour autant que possible !