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Commentaire de libellule

sur La fouine est un prédateur


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libellule 13 mai 2011 22:40

du bon rap ;)))

Lyrics to Si Peu Comprennent
 :

Vous comprendrez donc,
Que j’ai d’autres ambitions
Que de jouer au rappeur voyou
repenti, reconverti en bon bougre.
Pas le temps non plus
De faire peur,
de par un exotisme banlieusard.
Je suis a la recherche de l’universel,
Pas au contentement,
Ou a l’agacement,
D’un pays qui vieillit dans le sur place du spectacle et des clichés.
Mais..si peu comprennent..Si peu comprennent...

Je cache ma haine dans mes souliers c’est ma marque de pudeur.
Mais j’ai le pied tellement lourd qui tape l’béton comme un marteau-piqueur.
J’peux même pas camoufler sous mon égo,
J’ai le bad trop profond et le cerveau a zero.
Je m’esquive sous une pluie fine qu’un froid d’automne entraine,
Et je souris car j’ai compris que si peu comprennent.
La haine, la rage et la haine
qui me brule et m’enchaine,
quand je rappe et bouscule les idées qu’on enseigne.

Rappeur hardcore j’ai décidé d’aiguiser ma plume,
Remplacer la vulgarité par des idées qui fument.
(....)
Même si ça fait moins rebelle pour les oreilles des partners.
Et il s’avère qu’on sétonne que j’sois civilisé,
Pour un rappeur c’est peu commun c’est un illuminé,
un évolué, un rescapé,un repenti, un des notres,
Encore un pied dans l’rap mais il finira bon apôtre.
Et d’ailleurs est-ce encore du rap ?
C’est tout c’quils n’espèrent pas,
Ils appellent ça du slam quand je fais un accapella.
Ils sont heureux d’apprécier, ça confirme qu’ils sont d’gauche j’crois,
Tous ces bien pensant qui en tout cas eux le croient.

Moi j’ai la haine, la rage et la haine qui me brule et m’enchaine,
Quand je rappe et bouscule les idées qu’on enseigne.
Je m’esquive sous une pluie fine qu’un froid d’automne entraine,
Et je souris car j’ai compris,
Que si peu comprennent..

Ca c’est pour ceux qui détiennent le spectacle,
Mais pour le rap c’est pas mieux.
Pour le rap...

Au pays du zoo humain, au bon plaisir des médias,
L’indigène reste à l’affiche quand l’rap fait son cinéma.
Quand la jeunesse est fond d’commerce il est si dur de grandir,
De se sortir des fonctions autres que bourreau ou martyre.
Je n’suis pas dans vos arnaques parce qu’il y a une différence,
Entre un guerrier qui s’tape et des p’tit cons en manque de sens.
Alors certains jouent les cairas, le prenez pas pour une insulte,
Mais j’suis un des seuls trentenaire a rapper comme un adulte.
Ce qui nous manque c’est organisation, fric et éduaction,
Intimidation, force et information.
Donc quand on rumine le même film qui prend racine,
Je ferais de mon rap le hardcore que j’imagine.

J’ai la haine, la rage et la haine qui me brule et m’enchaine,
Quand je rappe et bouscule les idées qu’on enseigne.
J’mesquive sous une pluie fine qu’un froid d’automne entraine,
Et je souris car j’ai compris que si peu comprennent...

(Merci à Mély pour cettes paroles)
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Vous comprendrez donc,
Que j’ai d’autres ambitions
Que de jouer au rappeur voyou
repenti, reconverti en bon bougre.
Pas le temps non plus
De faire peur,
de par un exotisme banlieusard.
Je suis a la recherche de l’universel,
Pas au contentement,
Ou a l’agacement,
D’un pays qui vieillit dans le sur place du spectacle et des clichés.
Mais..si peu comprennent..Si peu comprennent...

Je cache ma haine dans mes souliers c’est ma marque de pudeur.
Mais j’ai le pied tellement lourd qui tape l’béton comme un marteau-piqueur.
J’peux même pas camoufler sous mon égo,
J’ai le bad trop profond et le cerveau a zero.
Je m’esquive sous une pluie fine qu’un froid d’automne entraine,
Et je souris car j’ai compris que si peu comprennent.
La haine, la rage et la haine
qui me brule et m’enchaine,
quand je rappe et bouscule les idées qu’on enseigne.

Rappeur hardcore j’ai décidé d’aiguiser ma plume,
Remplacer la vulgarité par des idées qui fument.
(....)
Même si ça fait moins rebelle pour les oreilles des partners.
Et il s’avère qu’on sétonne que j’sois civilisé,
Pour un rappeur c’est peu commun c’est un illuminé,
un évolué, un rescapé,un repenti, un des notres,
Encore un pied dans l’rap mais il finira bon apôtre.
Et d’ailleurs est-ce encore du rap ?
C’est tout c’quils n’espèrent pas,
Ils appellent ça du slam quand je fais un accapella.
Ils sont heureux d’apprécier, ça confirme qu’ils sont d’gauche j’crois,
Tous ces bien pensant qui en tout cas eux le croient.

Moi j’ai la haine, la rage et la haine qui me brule et m’enchaine,
Quand je rappe et bouscule les idées qu’on enseigne.
Je m’esquive sous une pluie fine qu’un froid d’automne entraine,
Et je souris car j’ai compris,
Que si peu comprennent..

Ca c’est pour ceux qui détiennent le spectacle,
Mais pour le rap c’est pas mieux.
Pour le rap...

Au pays du zoo humain, au bon plaisir des médias,
L’indigène reste à l’affiche quand l’rap fait son cinéma.
Quand la jeunesse est fond d’commerce il est si dur de grandir,
De se sortir des fonctions autres que bourreau ou martyre.
Je n’suis pas dans vos arnaques parce qu’il y a une différence,
Entre un guerrier qui s’tape et des p’tit cons en manque de sens.
Alors certains jouent les cairas, le prenez pas pour une insulte,
Mais j’suis un des seuls trentenaire a rapper comme un adulte.
Ce qui nous manque c’est organisation, fric et éduaction,
Intimidation, force et information.
Donc quand on rumine le même film qui prend racine,
Je ferais de mon rap le hardcore que j’imagine.

J’ai la haine, la rage et la haine qui me brule et m’enchaine,
Quand je rappe et bouscule les idées qu’on enseigne.
J’mesquive sous une pluie fine qu’un froid d’automne entraine,
Et je souris car j’ai compris que si peu comprennent...

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