Il s’agit bien de l’empire britannique, et plus précisément des familles royales surpuissantes néerlandaises et anglaises :
« L’empire britannique
lui-même, désormais plus que jamais aux commandes de la politique
mondiale, en se concentrant sur l’éradication permanente des
États-nations souverains, consistant à pousser les pays dans des
conflits autodestructeurs les uns contre les autres. Les services
secrets commencèrent immédiatement à semer les graines d’une autre
grande guerre, afin d’éliminer les nations et préparer le terrain
pour un gouvernement mondial. Les programmes sociaux furent éliminés,
les industries, privatisées, et de furieuses campagnes de
spéculations s’abattirent, la banque centrale imprima désespérément
des montagnes de billets, dans le vain espoir de rembourser
l’impayable dette débouchant sur la crise hyper-inflationniste.
Aujourd’hui encore, la manipulation des tensions religieuses et
ethniques sont organisées, juste pour créer des conflits régionaux.
Les mêmes banques et cartels qui avaient manipulé les conflits, se
positionnèrent en vue d’actions semblables pour ruiner les positions
déjà affaiblies. La banque JP Morgan, située au 23 Wall street,
branche américaine d’une banque britannique, fonctionnait comme un
cheval de Troie dans la finance américaine depuis bien longtemps.
Dans les années 20, la maison des Morgan agissait plus comme un
cartel que comme une banque, sans rôle public et avec un conseil
d’administration en lien avec des milliers de compagnies,
d’industries, et d’établissement publics américains. La main des
Morgan était reconnue comme monarchique au pays de la finance
américaine, seulement inféodée à l’empire britannique pour lequel
elle agissait. C’est ce vaste réseau financier qui allait prendre le
contrôle des partis politiques, installer une série de présidents
au service de Londres et Wall street, et qui allait conseiller le
démantèlement du Système américain. Un chômage massif se
développa à cause de l’effondrement de tout le tissu industriel et
agricole, tandis que s’installait un désespoir profond et le chaos
social, c’était un terrible cauchemar. Ce fut une époque
extrêmement dangereuse, les intérêts Morgan tentèrent d’installer
un gouvernement fasciste en France, autour de Pierre Laval. La
révolution espagnole éclata et le régime fasciste de Franco fut
mis en place, Hitler était au pouvoir, Mussolini était au pouvoir,
et des banquier de Wall street soutenaient cela, y compris Prescott
Bush, le grand père de GW du même nom, qui agissait avec des fonds
destinés à financer Hitler. Des millions de dollars furent injectés
dans le parti nazi et l’un d’eux mit le feu au Reichstag. Les
nazis accusèrent le parti communistes et utilisèrent la peur
suscitée par l’événement pour instaurer des lois liberticides
fomentées par Hitler qui avait les pleins pouvoirs. Le krach
économique aux Etats unis s’était transformé en une gigantesque
famine, banqueroutes, saisies immobilières, et le chômage culminait
à 25 %. Mais les gens n’étaient pas en mesure de prêter attention
aux grondements menaçants qui provenaient de l’étranger. Pourtant,
la participation aux élections qui suivirent fut sans précédent.
Les électeurs espéraient trouver un leader qui, contre toute
attente, les sortiraient du désespoir et ramènerait la prospérité
sur le pays.