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Commentaire de constante

sur La crise ? Quelle crise...


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constante 29 août 2011 19:08

C’est bien comme analyse statistique , on prend une moyenne médiane et on tire une bonne conclusion.c’est pas mal , un peu subjective.
Voyons ce que dit la cours des comptes maintenant :
http://www.ccomptes.fr/fr/CC/documents/RPT/Rapport_RMI_RSA.pdf
la c’est le rapport sur le RMI et le RSA 140 pages pour l’année 2011.
extrait :« difficile organisation de l’insertion »
« Cette nouvelle configuration juridique n’apporte pas, en elle même,
de réponse aux limites et aux dysfonctionnements antérieurs dans
la mesure où elle n’emporte aucune conséquence, ni sur la structuration et
l’analyse des besoins, ni sur l’obligation d’un chiffrage du coût
prévisionnel des actions en lien avec le budget départemental dans
l’objectif d’anticiper et de maîtriser la dépense. De même, elle
n’implique, pas plus qu’auparavant, de conférer un caractère stratégique
au PDI : la loi laisse en effet une grande liberté aux conseils généraux
pour procéder à l’élaboration de leur contenu de sorte que de simples
adaptations aux PDI antérieurs sont possibles et que la reconduction des
principales actions d’une année sur l’autre, sans que les départements ne
s’impliquent dans l’adaptation de l’offre aux besoins, constitue toujours
un risque d’actualité.
Près de deux ans après l’application de la loi, peu de PTI ont été
signés. Selon une enquête lancée par la direction générale de la cohésion
sociale en décembre 2010, moins de la moitié des départements avaient
avancé leurs travaux dans ce domaine : une quarantaine de départements
seulement étaient impliqués dans leur élaboration, à des stades variables,
20 étant signés ou en cours de signature et 21 étant en cours
d’élaboration.
C’est pourquoi, dans les faits, le passage au RSA pourrait entraîner
un recul dans l’application des recommandations de la Cour rappelées
supra. Seule leur première partie (caractère opérationnel des PDI) s’est
traduite en réalité par des avancées significatives, la seconde partie
(articulation avec le budget et évaluation) restant encore du domaine du
projet ou de l’incantation. »,
ça veut dire que les pauvres n’ont cas se trouve le meilleur conseil générale pour y vivre ! afin d’avoir peut être la chance d’une réelle insertion dans le monde du travail ! sinon c’est la culpabilité !
Les préoccupations de la cours des comptes :
Intervention de M. Didier Migaud, Premier président
Présentation à la presse du rapport public annuel
Jeudi 17 février 2011 :
http://www.ccomptes.fr/fr/CC/documents/Allocutions/Discours_PP_RPA2011_VD.p df
+
http://www.ccomptes.fr/fr/CC/documents/Syntheses/Synthese_rapport_public_an nuel_2011.pdf

extrait :« Résolument constructive dans ses observations et recommandations, la Cour est aussi énergique et tenace dans le suivi des actions correctrices effectivement engagées ou, dans certains cas, qui tardent à venir. »
« La troisième caractéristique est l’attention portée à des sujets qui concernent beaucoup de citoyens, de manière parfois très concrète. Quelques exemples parmi ceux examinés cette année : la prime pour l’emploi : huit millions de ménages sont concernés ; la contribution aux charges du service public de l’électricité figure sur la facture de chaque consommateur. Si la Cour examine l’indemnisation du chômage partiel et le fonds de réserve des retraites, c’est parce que l’emploi et les retraites figurent au premier rang des préoccupations des Français. »

C’est pas dut tout le même son de cloche que votre article.Je pense qu’il faut magné avec délicatesse les chiffres de l’ INSEE.« Cette article est un fait divers qui fait diversion. »

Quelles arguments avec des pièces à conviction un peu rigolote, avec un style un peu comptoir, « vous voyer ma bonne dame ..... c’est tous des menteurs.... il en a dans le porte feuille..... », le bougre...... ainsi, avec une conclusion qui découle sur les grands combats ; Il fraudais que...... c’est la faute à...... pas de chance ....... c’est normale que les classes sociales existent, faut des riches !, la crise, ce n’est qu’un mot qui cache la forêt des partis politique.

Non ma chère , la crise est réelle et bien perceptible pour beaucoup , ce mot est important et désigne un ensemble de malheur concret,qui ont une cause et des conséquences.Que la classe oligarchique s’en serve comme cheval de Troie, c’est normale,mais vous faite comme eux dans cette article, vous en faite un sujet démagogique. L’argumentation démagogique peut être simple afin de pouvoir être comprise et reprise par le public auquel elle est adressée. Elle fait fréquemment appel à la facilité voire la paresse intellectuelle en proposant des analyses et des solutions qui semblent évidentes.Il aurait mieux valu dire ceux-ci:Derrière le masque de la crise, c’est le visage de l’oligarchie qui mène un combat pour garde ses privilège".
 


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