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Il est vrai que, quoi qu’on en dise, chacun travaille dans l’urgence, moi y compris, pour des raisons liées à l’idée fasciste dont on banalise la portée. Certains de mes amis me considèrent comme un anti-sarkozyste « primaire » et vont jusqu’à se demander quelle sera ma vie après Sarko-Pétain ! No comment ! Quelle sera notre vie après ?... Les idiots en ont une, d’idée. Moi aussi : on continue... A-t-on vu la route s’arrêter au premier coude venu ?... Demandez à Merlin !
La route de la culture, plus sinueuse, plus insidieuse, plus douloureuse aussi, réclame des choses sinon plus subtiles, du moins... Plus posées. Or la vie ne nous laisse pas le temps, parce qu’elle patiente dans la salle d’accueil des Urgences, attendant un diagnostic qu’elle sait d’avance mauvais ! Patientons donc ! C’est la vie des « camps » !