C’est vrai, Matsada, il ne serait jamais venu à l’esprit d’aucun Européen sensé de l’époque d’emprunter à l’Orient ce genre de choses. Néanmoins, le fait est que l’Europe de l’époque les a empruntées.
Cela peut s’expliquer tout simplement par le fait que l’Europe de l’époque était déjà dirigée en partie par des individus qui n’étaient pas des Européens de souche. A cet égard, les suprémacistes noirs ont rendu public des statues oubliées et des tableaux très peu connus de souverains et d’« aristocrates » du « Moyen-âge » dont le faciès n’a strictement rien d’européen. Loin des images d’Epinal d’un grand Charlemagne aux cheveux blonds et aux yeux bleus, la description physique qu’ont laissée les deux grands biographes de ce roi très-chrétien révèle des traits mongoloïdes plutôt prononcés. A en juger par le visage d’Otton II, empereur du saint empire germanique, qui se trouve sur certaines cathédrales gothiques allemandes, il ne pouvait pas ne pas avoir d’ancêtres noirs. Le nez de Vercingétorix, sur certaine pièces très peu connues de l’époque, n’a rien de gaulois. Etc.