Bonjour minusabens,
Je vous remercie pour l’éclaircissement de votre point de vue et je comprend bien mieux votre pensé. :)
En tant que citoyen Européen (anti Maastricht - c’est important à le signaler) j’ai suis limité dans mes droits, notamment dans mes droits de participation active à la vie politique dans mon pays de résidence.
C’est un débat passionnant (en tout cas pour moi) qui mérite un article à part ...
Ce qui me gène dans le projet Européen c’est l’interprétation du mot étranger !
En tant que Européen je me sens par tout en Europe « comme chez moi »...
notamment en Espagne, j’adore l’Espagne ... mais la France est pour moi le plus beau pays au monde.
Beaucoup d’européens défendent toujours des valeur républicains avant celles des Européens ... et c’est la le problème des gens qu’il sont avant tout des citoyens d’un des 27 pays avant d’être Européen !
Étant citoyen Européen je ne devrait pas être considéré comme un étranger en France idem pour tous les autres résidents « étrangers » en Europe, et c’est juste la ou se trouve l’abiguité !!! Ceci est donc la preuve que nous sommes encore très loin de « mon Europe » de rêves ( comme je l’ai écrit au part avant cela reste une utopie à causes des nombreuses disparités, culturelles, sociales et économiques, entre les 27 pays).
L’Europe à trop vite grandit ce que va le conduire à sa perte, bref l’Europe à été construit sur un socle pourri (le traité de Maastricht).
http://www.ceras-projet.org/index.php?id=2016
Voici un court extrait d’un article (pour plus de détails il faut cliquer sur le lien haut dessus)
Argument suprême : la souveraineté nationale. Elle est mise en avant, y
compris par les chantres de la mondialisation. Accepter que des
personnes résidant en France contribuent à l’élection des élus locaux
est une atteinte inexpiable à la souveraineté nationale.
Or des
non-Français participent, désormais, à la définition de la politique
nationale.
Les citoyens de l’Union européenne, en votant aux élections
municipales, en élisant maires et adjoints, participent indirectement à
l’élection des sénateurs.
Certes, ils ne peuvent être maires ou
maires-adjoints. Mais ils peuvent faire basculer une municipalité et
changer l’orientation des grands électeurs. Le Conseil constitutionnel
n’a rien trouvé à redire.
Autre paradoxe : Daniel Cohn-Bendit, de
nationalité allemande, citoyen européen, ne peut être maire d’une
commune de 350 habitants, mais il représente la France au Parlement
européen.