@Nabum
Vive la poésie, peut être, mais quel enchaînement de la femme !
J’ai pratiqué moi, c’est froid, c’est fatiguant, quand on lave à la lessiveuse, il n’y a en plus le risque ébouillantage !
J’ai l’impression que pour certains bobos, ce genre d’histoire fait penser aux cartes postales pittoresques, avec des mineurs typiques, des corses typiques, des femmes pauvres typiques, j’ai fait une erreur, des lavandières typiques, pour faire rêver d’un état pur ancien, il faut enjoliver les mots.
Mais jamais une femme bourgeoise n’a lavé à la rivière, elle avait des employés de maison pour cela !
Maintenant, ce n’était pas parce que le travail était éreintant que ces femmes se complaisaient dans la tristesse, le lavoir était un lieu de bavardage sur tout, voire de médisance sur les bourgeois patrons, toute médaille dorée à un revers !
Pour le bavardage, nous avons maintenant le téléphone portable, cela permet de bavarder au chaud !
Maintenant, rêver le passé et l’enjoliver, il y a des limites qu’il ne faut pas dépasser !