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Commentaire de velosolex

sur Une association pour la défense des animaux sauvages... face à la réalité du terrain ! Comment nier l'évidence ?


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velosolex velosolex 12 novembre 2012 14:29

Tous les déséquilibres, tel que celui du vautour dont vous parlé, sont dus à l’action prédatrice de l’homme, et de sa vision naïve des choses : Nuisibles, animaux à protéger....Tout cela amène à déséquilibrer totalement la chaine alimentaire.

Dernièrement un article anti-requin s’insurgeait contre la pensée « naïve » des écologistes, alors que le tourisme et les activités nautiques, tels ces surfeurs indispensables à l’avenir de l’humanité, car venant se reproduire sur ces plages, sont menacés au large des vagues par ces « prédateurs »

Il semble bien que le confort des uns semble vouloir l’emporter sur la vie des autres.
Epoques barbares et apocalyptique pour les espèces animales nos frères ! ( je ne parle pas de la diversité des plantes).

Au moyen age, la partie était sans doute dure pour nous, mais pour l’animal, quel paradis. Même en animal domestique, il était considéré, et jouissait de conditons de vie, qui n’avaient rien à voir avec celles de ces pauvres poulets, cochons, truies....Entassés les uns sur les autres, ayant deux ou trois mois à vivre, des lunettes sur les yeux pour ne plus reconnaitre le jour de la nuit....

Quand au animaux sauvages, aucun pesticides pour les faire agoniser.
Seule la flèche d’un archer habile pouvait atteindre l’oiseau migrateur, dont depuis mon enfance, j’ai vu disparaitre en une seule génération, les nuées.
Les abeilles, et la promesse de la polénisation, n’étaient pas éradiqués par le cruizer et autres molécules à l’action mortifère.

Alors que penser de cet article, très manipulateur, qui fait l’amalgame entre des décisions étatiques parfois aberrantes, tel que l’interdiction d’exercer pour les charmeurs de serpent, et l’obligation d’enterrer les cadavres (dont les charognards se satisfont), et un lobbying effréné d’écologistes béats et stupides, dont l’action serait assez mobilisatrice pour mettre en danger l’espèce humaine.

La conclusion est altérante : ....." Sans attendre l’échéance de ces années là, si l’être humain n’a pas su anticiper sur le contrôle de la présence animale sur terre, toutes espèces confondus, on ne peut qu’envisager une lutte sans merci entre les deux parties pour l’espace vital et la nourriture disponible. A ce moment là, peut-être que les animaux sauvages auront évolués ? Et qu’ils demanderons l’éradication de la race humaine... Qui peut savoir !«  »

D’après cette pensée, sans doute devrions nous prendre les devant, et armés de Kalachnikov, descendre tout ces emmerdeurs aux dents pointus, qui n’attendent qu’un moment inattention pour nous piquer la clé de nos maisons, de nos chars d’assaut et de nos avions de chasse.

« Quand il n’y aura plus d’abeilles » alors la fin du monde sera bien proche.
J’ai bien peur que cette prédiction ( dont je ne me souviens plus de l’auteur illustre)
ne soit très juste.
 Il n’y a que les imbéciles à la vue courte et au long canon pour ne pas l’appréhender.
Le monde se rétrécit à toute vitesse, dans sa diversité. Un grand cimetière s’ouvre sous nos pieds. Apparament, cela ne va pas assez vite pour certains, qui réclament la solution finale !


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