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Commentaire de Le chien qui danse

sur Critique d'un article « Au nom de l'enfant, prenons le temps du débat ! »


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Le chien qui danse 22 novembre 2012 15:41

« Celui qui fait un don anonyme est le père dans la première définition du mot, il n’y a pas à se demander s’il peut l’être ou pas, il l’est. Les sentiments, les interprétations, les refus obstinés de réalité, les discussions interminables, trois mille articles sur AV, ne peuvent rien y changer. »


Ne peuvent pas VOUS changer, nuance... Il y a beaucoup de monde qui suit ce projet et les discutions qui en découlent. Ils comprennent que nous vivons une mutation profonde et tous ne l’interprètent pas comme un cataclysme anti-nature. Figurez vous qu’ils en a qui ont compris depuis longtemps et qui se disent « enfin » un débat sur la famille, haut lieu indétrônable de confusions en tous « genre », parce que les dégâts, on les mets bien de coté, soulevons le tapis pour voir...

Il n’est que le géniteur, un acte basique qui n’engage à rien. Les parents n’impressionnent que les enfants. Quand des adultes réels les observent avec leur progéniture, on est souvent bien triste.
P’tin, si j’fais un don anonyme, et vu que « j’arrose sec » si tous les mômes, engendrés in vitro ou in utéro avec mon produit de haute qualité, sont mes enfants qui vont réclamer ma paternité, bonjour les pensions alimentaires... Et le connard qui va l’élever va, en plus, profiter de mon pognon. Dans la paternité vous mettez l’avantage à trois dixième de seconde face à vingt ans de vécu, de suivi et soyons fou, d’amour. 

La famille y’a que les parents qui croient que c’est bien, ils ont l’impression d’être adultes, les enfants, eux, la subissent. D’ailleurs les enfants de nos jours sont bien plus éduqués par le milieu social que par leur parents et ils ont bien vite compris qu’il suffit de les contenter dans leur croyance pour avoir la paix, vu qu’ils ne peuvent s’appuyer sur eux pour l’ouverture d’esprit.

Y’a même des parents qui ont de réelles intentions bienveillantes, (non pas protectionnistes), pour les êtres qu’ils ont engendrés et bien souvent se retrouvent coincés par l’obligation de réagir comme des « parents » pour que les autres reconnaissent qu’ils en sont.

Bref, y’en a qui réfléchissent et d’autres qui beuglent.

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