« si le discours que nous tient ici le libéral de service était honnête, ce n’est pas ça qu’il dirait : il serait encore plus virulent contre l’establishment que ne l’est Mélenchon !
Je n’ai jamais vu un libéral autoproclamé dénoncer les arrangements entre le pouvoir économique et le pouvoir politique »
==> deja, Mélenchon, député Européen (7000 euros par mois), habitué des plateaux TV,, héritier de son père (source Libération ou Nouvel Obs), est l’establishment
==> ensuite, il n’y a qu’à lire
L’affaire Dexia, symbole de l’incompétence des « élites » dirigeantes
le libéralisme est fondamentalement populaire, lorsqu’il s’agit d’assurer l’égalité des chances, de récompenser l’initiative créatrice et le travail, de garantir la mobilité sociale de susciter le tissu vivant des créateurs d’entreprises et des PME. La politique de concurrence lutte contre les abus de position dominante, les ententes, les conflits d’intérêts, prohibe les collusions de la haute banque et de la grande industrie, les cartels et les trusts - c’est-à-dire les excès de pouvoir du grand capital.
source : Alain Madelin, aux sources du libéralisme français
livre en libre téléchargement
Quand au manque de transparence dont le Ministère de la Santé a fait preuve en refusant de montrer dans leur ensemble les contrats passés entre la très secrète Eprus et les labos, il a été dénoncé dès le début. source : LPL Le Parisien Libéral
Il fallait oser, Nicolas Sarkozy l’a fait !
source : Frédéric de Harven
L’État totalitaire, pour asseoir son hégémonie, a besoin de canons, de fusil et de soldats qui feront les guerres qu’il faudra pour assurer sa propre pérennité.
L’État social-démocrate, lui, a bien compris qu’il n’était pas nécessaire d’envahir un pays pour exister ; il lui suffit donc, pour se maintenir, de se brancher directement au monde financier. Après tout, c’est l’État qui est maître de la monnaie, qui définit le médium de toutes les transactions, et qui punit sans faiblir ceux qui tentent de s’extraire de son joug, qu’il soit monétaire ou fiscal. En cela, la sociale-démocratie aura permis aux larrons et autres aigrefins politiques de trouver de bons truchements pour leurs goûts immodérés de pouvoir et de luxe.
Résultat : plus aucune banque d’importance, plus aucun établissement financier un tant soit peu remarquable n’est indépendant des politiciens qui, en l’échange de passe-droits et de regards tournés à gauche lorsqu’on bidouille à droite et inversement, récupèrent une partie des fonds ainsi collectés et, par voie de conséquence, du pouvoir afférent.
H16 - Libor, les raisons d’un scandale
http://h16free.com/2012/07/02/16132-libor-les-raisons-dun-scandale
Vous voyez donc que vous devriez lire directement ce que disent les libéraux, depuis des années, plutot que d’écouter ce qu’on raconte sur les libéraux ?