Déjà, on peut commencer par planter des arbres si l’on a de la place.
Pas facile dans les cités et autres centre villes avec leur univers exclusivement minéral.
Ensuite, on est exigeant avec les meubles que l’on achète, les planches dont on se sert en exigeant de savoir d’où vient le bois, comment a-t-il été coupé, a-t-il fait l’objet d’une replantation ?
Ensuite, on se renseigne sur les sites Internet ad hoc, pour savoir comment éviter la transmission des parasites, comment se débarrasser du bois mort etc...
Et puis, la filière bois, c’est l’avenir, à condition de se donner les moyens de son développement.
Quant aux modifications du climat, accélérées par le développement humain, cela suppose que l’on en prenne conscience, que l’on modifie quelques unes de nos mauvaises habitudes et que l’on convainque autour de nous les autres de nous suivre dans la voie de la décroissance, seule politique économique prenant en considération l’avenir des générations futures, dont, pour le moment tout le monde s’en fout royalement en gavant leurs enfants et petits enfants de cadeaux aussi pervers que dangereux pour nous, et surtout pour eux.
« Après moi le déluge ! » Tel est l’un des fondements de la pensée dominante des irresponsables qui nous gouvernent, avec notre assentiment, notre complicité.