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Commentaire de olivierchen

sur Le marxisme au XXIème siècle


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olivierchen 3 décembre 2012 04:46

@ Franc 


“Popper est un libéral qui défend sa classe ,la classe des dominants ”

Pourriez vous justifier et me prouver quand vous dites que Popper defend sa classe des dominants ? ,ce n`est pas un neoliberal , il as bcp apporte au niveau concept de l`epistomologie sur la refutablite, issu de l`ecole de Vienne,c`est un vrai intelletuel, un grand logicien sur l`histoire des sciences ...un vrai progressiste un niveau des idees 

« c’est aujourd’huis la bourgeoisie financière qui prend même le pas sur la bourgeoisie industrielle » le mot bourgeoisie n`as pas la meme signification a l`epoque ou Marx as ecrit ?il n`as pas prevu en tant que visionnaire. 


 « La plupart des libéraux considèrent que l’action de l’État est nécessaire à la protection des libertés individuelles, dans le cadre de ses fonctions régaliennes, et nombre d’entre eux (comme Adam SmithRaymond AronKarl Popper ou Benedetto Croce) acceptent et même recommandent certaines interventions de l’État dans l’économie, notamment en matière de contrôle et de régulation. À l’opposé, les libertariens de tendance anarcho-capitalistes refusent à l’État toute légitimité dans quelque domaine que ce soit. »


Les vrais liberaux ont bcp apporte pour l`economie si le capitalisme est bien regule.Le capitalisme n`est pas une fin en soi , c`est une forme naturelle de l`organisation de la societe, il as toujours existe et continueras a exister ... 


« Le marxisme économique est l’économie politique proposée dans les travaux de Karl Marx, et par extension les théories qui s’en sont inspirées.

À proprement parler, au sein du marxisme économique, il faut faire la distinction entre l’économie marxienne dont les représentants se revendiquent directement de la pensée de Marx, l’économie marxiste, qui appuie sa réflexion sur le marxisme, et enfin les écrits économiques de Marx.

Pour désigner le marxisme économique, on parle alors suivant les cas de l’économie marxienne, de l’économie marxiste, de l’économie politique marxiste, de la science économique marxiste, de la théorie économique de Marx, des écrits économiques de Marx, de l’économie politique de Marx, etc. »


Critique sur l`historicisme 

La critique porte sur le fait que la représentation d’un tel développement de la Raison dans l’Histoire, non seulement est contradictoire en soi (si chaque époque révèle un particularisme qui doit être dépassé, la modernité est une telle époque), mais aboutit aussi à rendre relatives les figures historiques dans lesquelles la raison s’est montrée.

Le relativisme propre à l’historicisme tend à déconsidérer comme choses du passé les philosophies antérieures, pour ne privilégier que ce qui arrive en dernier. Non seulement l’historicisme est aliéné à la conscience historique, mais tend à faire le lit de l’idée selon laquelle les Modernes comprennent mieux les auteurs du passé, que ceux-ci ne se comprenaient eux-mêmes. Cette appréhension surplombante du passé, en tant qu’elle réinterprète l’histoire à la faveur des opinions du présent et sous le mode du relativisme, préfigure le nihilisme, et par sa distinction entre faits et valeurs, l’éclatement de la philosophie en sciences humaines.


La critique de l’historicisme, proche de la critique du scientisme est un thème récurrent de la pensée libérale contemporaine, Friedrich Hayek, en plus de Popper et Mises, s’en est fait l’écho.

L’économiste libéral Ludwig von Mises présente en 195718 l’historicisme comme une doctrine épistémologique par essence hostile à l’économie. D’après lui, l’historicisme rejette toutes sources de connaissance - hormis les sciences naturelles, la logique et les mathématiques - qui ne seraient pas fondées sur l’étude de l’histoire, au premier rang desquelles l’économie. L’historiciste estime que l’erreur fondamentale de l’économie est de croire que l’homme recherche exclusivement son bien-être matériel. Mises conteste que l’économie prêche une telle croyance : toute action humaine s’expliquerait par un jugement de valeur des individus. Ainsi le coût, qui pour les historicistes est un élément propre aux sociétés capitalistes, serait en réalité « un élément de tout type d’action humaine, quelles que soient les caractéristiques du cas particulier. Le coût est la valeur des choses auxquelles l’acteur renonce afin de parvenir à ce qu’il veut : c’est la valeur qu’il attache à la satisfaction désirée de façon la plus pressante parmi les satisfactions qu’ils ne peut avoir parce qu’il en a préféré une autre. C’est le prix payé pour une chose ».

Mises postule ainsi que, croyant pouvoir appliquer les méthodes des sciences naturelles à l’histoire, l’historiciste recherche les lois qui gouverneraient l’histoire. S’étant fixé un objectif impossible, les lois que l’historiciste énonce ne sont dès lors que le produit de son intuition, peu importe que « l’auteur de l’Apocalypse,Hegel et, par dessus tout, Marx se considéraient comme parfaitement informés des lois de l’évolution historique. »






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