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Commentaire de Cassiopée R

sur La souffrance des salarié(e)s et des allocataires de la CAF


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Cassiopée R 4 décembre 2012 20:28

Les salariés du service public,des multinationales, des banques et des entreprises privées sont confrontés aux même problèmes qui viennent de leur direction ou des fonds d’investissements qui exigent plus de rendements et plus de résultats avec une diminution des moyens pour y parvenir. Les problèmes de stress, de santé et les suicides font partie de cette dégradation sociale qui finit par changer les mentalités, et va rendre les relations sociales plus dures et plus méchantes.

Les restrictions des budgets qui sont devenus la norme accepter par les divers services publics et privés en contradiction avec la hausse des profits pour les actionnaires et leurs dividendes, les propriétaires de grandes entreprises et les hyper-riches.

Ses baisses de bugdets ont pour conséquence de rendre le climat social plus tendu, et dans le même temps d’exiger une hausse régulière des rendements et une hausse des résultats qui ne seront de toute façon pas redistribuer. Par le biais de la précarisation des contrats de travail ont peu facilement mettre la pression sur les salariés et délocaliser l’entreprise même si les bénéfices sont importants. Ce qui permets de poser de plus en plus d’exigences sur la masse salariale, qui de toute façon n’aura aucun contre-pouvoir pour tenter de sauvegarder leurs situations de vie en entreprise.

Les restrictions qui ont pour but une hausse des résultats et des rendements, ne sont pas accompagnés d’une augmentation des salaires, ce qui devrait se passer à la suite de meilleurs résultats. Au contraire, les salaires publics comme privés sont gelés, et sont même baisser comme ce fût le cas dans de nombreux pays ou entreprises. Il y a moins de salariés par service, moins d’heures de travail que les salariés essayent de combler par des heures supplémentaires qui ne seront pas payés, ceci avec obligation de rendements/résultats sous peine de subir des pressions permanentes ou de faire du chantage pour délocaliser l’entreprise, qui de toute façon peut se voir confronter à une administration ou un conseil d’administration cupide pour ensuite fermer malgré les résultats exigés ou de bons résultats pour permettre de continuer l’activité.

Celà continue avec une baisse des droits sociaux pour des couvertures diverses, c’est la sécurité et la qualité de l’emploi qui sont remis en cause, alors que les profits vont vers les riches qui profitent de la masse salariale.


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