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Commentaire de velosolex

sur Gérard Depardieu, l'idiot utile du hollandisme ayraultique ?


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velosolex velosolex 17 décembre 2012 18:05

Voxagora

« Les hurluberlus », comme vous dites

Ceux qui hier luttaient sur le plateau du Larzac

Qui s’agitent à notre dame des landes, qu’on soient d’accord ou non avec eux, ont eux ,une conscience citoyenne.
Pas vraiment le cas, d’autres, en première classe, là haut, se soulageant en pissant dans des bouteilles en plastique.
Il serait temps atterrir, ma brave monsieur.

Donc, le Gerard aurait produit de la richesse ?
Laissez nous rire !

N’aurait-il pas plutôt capté cette formidable manne, produite par le cinéma français, subventionnée par l’état, n’oublions pas de le dire, et qui, reposant sur une système d’avance sur recette et de financements des artistes, comme il en existe nulle part ailleurs au monde, a permis à « l’artiste » d’acquérir ce bel embonpoint d’empereur romain décadent !

Les fonctionnaires, comme vous dites avec mépris, semblant vouloir dire que les infirmiers, les profs, les facteurs, tous ce qui sert de socle au pays, et sans lesquels vous seriez gros jean comme devant, ne benéficient pas de ce régime extrêmement généreux, et non, ne sont pas payés par Depardieu, « entre autres » comme vous dites, ni par Clavier où tous ces guignols, dont la fortune obscène est une injure à l’intelligence et au monde.

Si ça n’avait pas été le Gérard, d’ailleurs, pour faire l’obelix, le Cyrano, et aujourd’hui l’Harpagon, c’en aurait été un autre.
Il serait temps là aussi de remettre les pendules à l’heure.
Et s’interroger sur cette notion de « génie » que l’on octroie à ces « faiseurs » auxquels on n’est simplement habitué.
La mère Denis, de la lessive, est devenu célèbre tout simplement, car elle avait pour voisin Jacques séguéla, qui cherchait une figure pour ses publicités.

Voilà comment on fait des vedettes.
Sinon comment expliquer l’omniprésence des enfants de vedette, maintenant, pour monopoliser les premiers roles du box office.
« Fils de ... » ou « Fille de.... » se joue partout à l’écran : Les Boringer, les Gainsbourg, les Deneuve, les Doillon, les Delon, toutes ces familles incestueuses jaloux de garder leurs privilèges, et se filant même des prix entre eux, comme papa Boringher l’a fait , avec la complicité de sa fille, octroyant un prix de la réalisation au fils.

Les prix Nobel ont plus de difficulté à transmettre leur fond de commerce à leurs enfants.
C’est que dans ce domaine, les connivences, les copains, et les beaux éclairages, ne suffisent pas à palier l’absence de qualités.


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