ça coûte déjà bonbon, les indemnités vont pleuvoir... les pires étant les émirats, qui ont déjà menacé...
Speaking to me on the flight to London, Akbar Al Baker, chief executive of Qatar Airways, acknowledged that airlines took a risk buying a new aircraft type so early in its life, particularly one as technically innovative as the Dreamliner. He admitted Qatar had experienced several problems. “To a certain extent an airline can digest those problems, but of course we cannot accept it if those problems are persisting and are major. Qatar Airways has had a couple of major problems but we are going to overcome them«
lu ici :
»
Quelle compagnie voudrait en effet prendre livraison d’un avion qui ne peut même pas décoller ? "
d’autant plus que :
. A raison de 207 millions de dollars par appareil et sachant qu’au moins 50% du prix a déjà été versé par la compagnie avant la livraison, l’interruption des livraisons pourrait donc se traduire par un manque à gagner de plusieurs centaines de millions de dollars par mois, à partager entre Boeing et tous ses sous-traitants, parmi lesquels les principaux équipementiers français, Safran, Thales, Zodiac, qui ont chacun pour plusieurs millions de dollars d’équipements par appareil. A ce manque à gagner s’ajoute, dans le cas de Boeing, les indemnités dûes aux compagnies clientes. ANA estime ainsi à 1,1 million de dollars par jour le coût de l’indisponibilité de ses 17 Boeing 787.
Cependant, même si l’enquête de la FAA concluait à un défaut des batteries, leur remplacement ne sera pas une mince affaire, ces batteries ayant été spécialement conçues pour le 787