La contestation gronde 5 mai 2013
La difficulté à vivre, les fins de
mois difficiles, l’austérité, le Chômage, autant de sujets de mécontentement
face à un gouvernement laxiste et un patronat satisfait des orientations Hollandistes.
Cette manifestation du 5 mai 2013
n’est pas une décision fortuite de tel ou tel homme politique, mais
l’expression d’un « ras le bol » de gens qui triment sans apercevoir
la fin du tunnel. Depuis des décennies, voir des siècles, les promesses n’ont
jamais cessées. Nous promettant des jours meilleurs, des lendemains plus
justes, une vie plus sociale. MAIS
JAMAIS RIEN ne vient.
Qu’ils soient de droite, du PS, tous
ces hommes politiques ont jurés
allégeance au capital. Ils n’osent pas remettre en cause le pouvoir de cette
finance qui décide de tout. Qui au nom de la rentabilité ferme des pans entiers
de notre industrie. Qui ose dire que
l’état doit financer les emplois sinon
ce sera la fuite des capitaux et la délocalisation de notre outils de travail.
Le peuple en a assez de ce chantage odieux, assez de ces
scandales financiers, assez de payer des impôts pour engraisser une classe
oligarchique qui spécule allègrement et affiche des profits colossaux.
Le peuple veut des actes, des lois qui iront chercher l’argent là ou il
est et qu’enfin cesse cette misère qui
colle a la peau des petites gens !
On voudrait nous faire croire que
certains hommes politiques seraient providentiels que leur éloquence
pourrait soulager tous les
maux ?? Foutaises car chaque fois le
blabla a servit de somnifère pour endormir les luttes et
réduire a néant la volonté de changements profonds que souhaite le
peuple.
UN
HOMME POLITIQUE DOIT ETRE AU SERVICE D’UNE CAUSE ET NON PAS SE SERVIR D’UNE CAUSE POUR SES
AMBITIONS PERSONNELLES.
L’analyse est simple, ce qu’il faut
réformer par ordre de priorité :
1)
Le
pouvoir de la haute finance en réduisant leurs privilèges.
2)
En
finir avec le pouvoir personnel en
privilégiant l’intérêt collectif sur le social et l’humain.
3)
Réprimer
sévèrement les indélicatesses financières des politicards maffieux
4)
Mettre
un arrêt définitif aux réseaux de copinage qui privilégient le copain et non la
compétence.
Il
faut un gouvernement, un parlement qui votent des lois efficaces et non des réformettes qui ne
servent qu’à maintenir les injustices et les inégalités du système.