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Commentaire de Philippe VERGNES

sur La « novlangue » des psychopathes


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Philippe VERGNES 14 mai 2013 14:12

@ JL (en italique et entre guillemet si les balises fonctionnent correctement),

« Je vais essayer de tirer quelque chose de ce salmigondis, »


Vous singez mes expressions (ce n’est pas nouveau). Serait-ce que je vous instruise ? smiley smiley smiley


« Pour commencer, cette remarque : PV déclare que participer à un débat qu’il a ouvert, c’est venir le chercher. Je cite : “Je passe sur vos allégations de fantasme en vous rappelant tout de même que c’est vous qui venez me chercher en postant sous mes articles” (PV). »


Dénigrer, disqualifier, critiquer en affirmant sans preuve, etc. ce n’est pas débattre : c’est « chercher la merde ». Un sens du mot « chercher » que vous ignorez mon cher JL (et un de plus pourrais-je dire) = interprétation d’un mot dans un usage monosémique = « novlangue ».


« Je dis : celui qui soutient que ce n’est pas de la communication paradoxale, n’est pas crédible. Celui qui communique de cette façon n’est pas habilité à parler de la communication paradoxale. »


Toujours et encore dénigrement, disqualification, calomnie et diffamation et cela sans fournir d’autre preuve, démonstration ou explication que celles de vos affirmations péremptoires = « langue de bois » = idéologie néolibérale. Une tactique éculée chez vous lorsque quelqu’un vous tient tête.


Prétendre dénoncer une communication paradoxale sans être capable de la définir alors que j’ai écrit trois articles sur le sujet ici même dont celui-ci, voilà ce qui relève d’un paradoxe.


« A ma question : “Mais de quel paradoxe parlez-vous ?” PV répond : “Mais allons donc, c’est simple voyons, je parle de celui que vous êtes incapable de voir lorsque je dis : “Voir dans un texte des amalgames là où il n’y en a pas et les ignorer lorsqu’il y en a : voilà bien un archétype de la position perverse d’un observateur”.


Serais-je le seul à voir un amalgame ici ? »


Bhein, c’est bien simple, démontrer le si vous en êtes capable et ce sans vous fourvoyer comme vous l’avez fait une nouvelle fois en vous citant vous-même tout en sortant votre propre phrase du contexte de votre propre commentaire.


« Gaspart Delanuit a écrit ci-dessous : “(dans la seconde partie ) vous tentez de faire entrer le lecteur dans une sphère complètement différente de celle des évidences exprimées dans la première partie de l’article.” Je dis : celui qui soutient que cela n’est pas la description d’un amalgame, n’est pas crédible. Celui qui commet cet amalgame n’est pas crédible. »


Emploi du mot amalgame mal à propos = ignorance de la définition sémantique du mot amalgame = point de vue une nouvelle fois monosémique = « novlangue ». Il y a « amalgame » et « amalgame » = polysémie du terme amalgame à lire dans les définitions ici et (même page, deux longues définitions).


Il y a des choses que l’on peut amalgamer parce que le signifié, désigné par plusieurs signifiants (« novlangue », psychopathie et perversion) exprime des notions émanant d’une seule et même « force » (processus ou mouvement) ; et il y a des choses que l’on ne peut pas amalgamer comme de dire que « les chrétiens peuvent être authentiquement vertueux et moraux » tout comme et dans le même commentaire insinuer (la subtilité qui tue) « qu’ils ne peuvent pas être vertueux et moraux ». Ce que j’explique en substance au même Gaspard Delanuit et ce que vous éludez dans votre tentative de démonstration = propos sortis de leur contexte. CQFD ! smiley


« Enfin, pour finir, encore une : PV écrit : “JL, ou l’art et la manière de s’attacher à la forme tout en ignorant le fond : com’ d’hab… bis repetita.” J’essaie généralement de condenser et concentrer ma pensée pour être concis, afin de faciliter l’échange. Ce n’est pas le cas de Vergnes qui se livre systématiquement à une diarrhée verbale au sujet de la forme et destinée à noyer le fond de l’argument du contradicteur. »


Merci d’avouer que vous « condenser ». En fait, vous condensez tellement que vous limitez l’usage d’un mot à une seule et unique définition : en l’occurrence la votre comme dans tous les échanges que vous avez avec des personnes qui ne partagent vos opinions. Incapacité à « méta-communiquer » avec un interlocuteur tout en « méta-communicant » à l’infini pour noyer le poisson dans l’eau lorsqu’il est pris la main dans le sac. Persistance dans l’ignorance mettant ainsi en œuvre le concept typiquement « novlangue »  : « l’ignorance c’est la force ».


« Celui qui dit que cette manière de procéder n’est pas l’art et la manière de s’attacher à la forme tout en ignorant le fond n’est pas crédible. Celui qui pratique cet art et cette manière n’est pas crédible. »


Affirmation sur ses propres affirmations = langage circulaire = langue de bois + « novlangue » = limitation et restriction de la polysémie des mots jusqu’à leur destruction = limitation de la pensée et nouveau paradoxe.


« Bref, Philippe Vergnes ne voit pas le monde comme il est mais comme il le voudrait : dans ce monde, tous ses contradicteurs sont pervers, et tous ceux qui le flattent sont droits. »


No comment !!! smiley smiley smiley


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