@ JL (en italique et entre guillemet si les balises fonctionnent correctement),
« Je vais essayer de tirer
quelque chose de ce salmigondis, »
Vous singez mes expressions (ce n’est
pas nouveau). Serait-ce que je vous instruise ?
« Pour
commencer, cette remarque : PV déclare que participer à un débat qu’il
a ouvert, c’est venir le chercher. Je cite : “Je passe sur vos allégations de fantasme en vous rappelant tout de même
que c’est vous qui venez me chercher en postant sous mes articles” (PV). »
Dénigrer, disqualifier, critiquer en affirmant sans preuve, etc. ce n’est pas
débattre : c’est « chercher la merde ». Un sens du mot « chercher »
que vous ignorez mon cher JL (et un de plus pourrais-je dire) = interprétation d’un
mot dans un usage monosémique = « novlangue ».
« Je dis :
celui qui soutient que ce n’est pas de la communication paradoxale, n’est pas
crédible. Celui qui communique de cette façon n’est pas habilité à parler de la
communication paradoxale. »
Toujours et encore dénigrement,
disqualification, calomnie et diffamation et cela sans fournir d’autre preuve,
démonstration ou explication que celles de vos affirmations péremptoires =
« langue de bois » = idéologie néolibérale. Une tactique éculée chez
vous lorsque quelqu’un vous tient tête.
Prétendre dénoncer une communication
paradoxale sans être capable de la définir alors que j’ai écrit trois articles
sur le sujet ici même dont celui-ci, voilà ce qui relève d’un paradoxe.
« A ma question : “Mais de quel
paradoxe parlez-vous ?” PV répond : “Mais allons donc, c’est simple voyons, je parle de celui que vous êtes
incapable de voir lorsque je dis : “Voir dans un texte des amalgames là où
il n’y en a pas et les ignorer lorsqu’il y en a : voilà bien un archétype
de la position perverse d’un observateur”.
Serais-je le seul à voir
un amalgame ici ? »
Bhein, c’est bien simple, démontrer
le si vous en êtes capable et ce sans vous fourvoyer comme vous l’avez fait une
nouvelle fois en vous citant vous-même tout en sortant votre propre phrase du
contexte de votre propre commentaire.
« Gaspart Delanuit a écrit
ci-dessous : “(dans la seconde
partie ) vous tentez de faire entrer le lecteur dans une sphère complètement
différente de celle des évidences exprimées dans la première partie de
l’article.” Je dis : celui qui soutient que cela n’est pas la
description d’un amalgame, n’est pas crédible. Celui qui commet cet amalgame
n’est pas crédible. »
Emploi du mot amalgame mal à propos = ignorance de
la définition sémantique du mot amalgame = point de vue une nouvelle fois
monosémique = « novlangue ». Il y a « amalgame » et « amalgame »
= polysémie du terme amalgame à lire dans les définitions ici et là (même page, deux longues
définitions).
Il y a des choses que l’on peut amalgamer parce que le signifié,
désigné par plusieurs signifiants (« novlangue », psychopathie et
perversion) exprime des notions émanant d’une seule et même « force »
(processus ou mouvement) ; et il y a des choses que l’on ne peut pas amalgamer
comme de dire que « les chrétiens peuvent être authentiquement vertueux et
moraux » tout comme et dans le même commentaire insinuer (la subtilité qui tue) « qu’ils ne
peuvent pas être vertueux et moraux ». Ce que j’explique en substance au même Gaspard Delanuit et ce que vous éludez dans votre tentative de démonstration = propos sortis de leur contexte. CQFD !
« Enfin, pour finir, encore une : PV écrit :
“JL, ou l’art et la manière de
s’attacher à la forme tout en ignorant le fond : com’ d’hab… bis
repetita.” J’essaie généralement de condenser et concentrer ma pensée
pour être concis, afin de faciliter l’échange. Ce n’est pas le cas de Vergnes
qui se livre systématiquement à une diarrhée verbale au sujet de la forme et
destinée à noyer le fond de l’argument du contradicteur. »
Merci d’avouer
que vous « condenser ». En fait, vous condensez tellement que vous
limitez l’usage d’un mot à une seule et unique définition : en l’occurrence la
votre comme dans tous les échanges que vous avez avec des personnes qui ne
partagent vos opinions. Incapacité à « méta-communiquer » avec un
interlocuteur tout en « méta-communicant » à l’infini pour noyer le
poisson dans l’eau lorsqu’il est pris la main dans le sac. Persistance dans
l’ignorance mettant ainsi en œuvre le concept typiquement « novlangue »
: « l’ignorance c’est la force ».
« Celui qui dit que cette
manière de procéder n’est pas l’art et la manière de s’attacher à la forme tout
en ignorant le fond n’est pas crédible. Celui qui pratique cet art et cette
manière n’est pas crédible. »
Affirmation sur ses propres affirmations =
langage circulaire = langue de bois + « novlangue » = limitation et
restriction de la polysémie des mots jusqu’à leur destruction = limitation de
la pensée et nouveau paradoxe.
« Bref, Philippe Vergnes ne voit pas le
monde comme il est mais comme il le voudrait : dans ce monde, tous ses
contradicteurs sont pervers, et tous ceux qui le flattent sont droits. »
No
comment !!!