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Commentaire de ffi

sur Comment l'Europe pourrait sortir de la dépression. La leçon du Cern


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ffi ffi 17 mai 2013 02:24

1° je cherche parce que j’aime ça, j’ai été fait pour aimer ça. Ca m’occupe.
2° Ca peut arriver au détour d’un forum, mais ça reste une démarche personnelle.
3° Je ne souhaite pas attirer l’attention ;
Quant à la quantification, je quantifie souvent, pour vérifier certaines choses.
Mais je considère que la démarche doit d’abord être qualitative.
Avant de modéliser, il faut savoir quoi.
4° Quant-à l’aspect prédictif des théories modernes (MQ et relativité), déjà très rares sont ceux qui y comprennent quelque chose, de plus les équations deviennent très rapidement impraticables, donc servent surtout de justification à postériori.
Par exemple, la miniaturisation des antennes jusqu’à produire des fréquences optiques, ce n’est pas une prédiction de la quantique, mais une découverte fortuite. Une simple analogie aurait permis de l’envisager ce phénomène, mais comme le monde quantique n’est pas analogue au monde normal, personne ne pouvait y croire...
En fait ces deux théories marquent un retour à Aristote, c’est la méthode axiomatique, on postule une nature des choses, puis on invente une logique pour retrouver les faits.
Comme en Alchimie, on finit par tordre le cou à la logique, plutôt que repenser les axiomes.
Personnellement, les axiomes de base ne me vont pas, donc...
 
Il y a quelque chose qu’il faut voir, au départ l’électricité fut définie de deux types : électricité vitreuse et électricité résineuse (Dufay). Mais Franklin pensait autrement, il pensait que l’électricité vitreuse contenait « + » d’électricité et que l’électricité résineuse en contenait « - », d’où certaines hésitations historiques, comme le sens du courant à rebours du mouvement des électrons. Or l’histoire a donné raison a Dufay : il y a bien deux types d’électricité. Il s’ensuit qu’ajouter des charges « + » et des charges « - » n’est peut-être pas modélisable par une opération arithmétique aussi simple que l’addition, car après mélange de ces charges, les charges vitreuses et résineuses ne cesseront pas d’exister.
 
Parler d’un noyau vitreux entouré par des électrons résineux serait déjà un pas pour sortir de la confusion actuelle. Le modèle d’atome que j’ai présenté consiste donc en un résinon qui englobe un vitron, il consiste en une substance vitreuse, dans une substance résineuse.


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