Commentaire de Pelletier Jean sur Pina Bausch : danser pour ne pas se perdre et retrouver son chemin

Commentaire de Pelletier Jean

sur Pina Bausch : danser pour ne pas se perdre et retrouver son chemin

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Pelletier Jean 14 octobre 2013 15:02

Pina Bausch... j’avais 25 ans, personne n’en avait entendu parler...

1977, Michèle Kokosowski prend la relève, ce seront les derniers feux du festival : mille acteurs, 40 troupes, avec une lumière exceptionnelle, Pina Bausch à la fois au grand Théâtre(« les sept pêchés capitaux »), mais aussi avec son « Café Muller » joué dans la vitrine d’une concession automobile, nous étions sur des gradins abrités par de grands plastiques qui claquaient au vent et dans ce grand bocal nous voyions pour la première fois l’alchimie de Pina Bausch faire son œuvre… des corps de femmes dansent et se mettent en danger

http://jmpelletier52.over-blog.com/article-quand-le-theatre-inventait-la-rue-109467526.html

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Derniers commentaires

14/10 17:32 - Serge ULESKI

Merci pour votre témoignage.
14/10 15:02 - Pelletier Jean

Pina Bausch... j’avais 25 ans, personne n’en avait entendu parler... 1977, Michèle (...)
14/10 13:13 - La mouche du coche

Non, on ne voit pas, on évite. :-)
14/10 13:01 - Serge ULESKI

On peut voir ça comme ça aussi.
14/10 12:59 - La mouche du coche

Art abscon destiné aux dominateurs ultra-libéraux dépressifs. On évite. :-)

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