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Commentaire de Marc-Antoine JEULLIAU

sur Que sont la matière et l'antimatière du point de vue particulaire ?


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Marc-Antoine JEULLIAU Marc-Antoine JEULLIAU 30 octobre 2013 19:11

Pour compléter la remarque faite ci-dessus le 30 oct à 15:51 à Mr Dugué je vais reprendre ci-dessous une des ’’explications simples’’ citée dans ’’mes textes’’ et qui, expérience reproductible proposée à la critique d’universitaires en 1990 et à il y a quelques mois à 2 Dr en physique, n’a pu être contredire et a donc été acceptée par eux comme reflétant ’’la réalité’’.


Et cette expérience, prise parmi d’autres dont certaines dépassent les interprétations de la mécanique quantique, remet en cause la(es) relativité(s) ...

Mais bon ! c’est comme ça.

Même si, en 1975 (déjà !), passionné et dans une démarche d’autodidacte dictée par la conjecture, j’ai réussi des tests de logique et d’aptitude mathématique me permettant d’être admis au club Mensa, que donc passionné autodidacte je sois parvenu à remette en cause relativités, interprétations quantiques sans le concours du langage mathématique ... j’ai pu concevoir que cela faisait plutôt désordre dans le landernau.

Mais, voilà maintenant un an et comme l’avait prédit Stephen Hawking, j’avais pensé que mes textes (qui mériteraient d’être accompagnés d’animations et d’images de synthèse et qui avaient été abandonnés dans un tiroir pendant 23 ans) seraient enfin compris par le plus grand nombre. Las ! Pour prouver que le modèle de photon en anneau soliton -déductible voire observable par l’expérience- ne peut être qu’approché mais probablement plus être décrit dans le langage mathématique, je constate qu’il me faudrait comme me battre avec des moulins à vent. Désolé, mais si, dans le sport, j’ai pu aimer la compétition aujourd’hui je n’en ai plus ni la vitalité ni même la volonté. Quelques textes en ligne et ailleurs devraient seuls pouvoir témoigner de mes réflexions.

Ainsi, aujourd’hui atteint d’une SEP invalidante je ne saurais ... vous remercier de m’avoir si vertement lancé la cane pique qui devrait me soutenir pour terminer mon terrestre voyage. Je serai finalement ravi de ne pas avoir à vous rencontrer ni comme philosophe, ni comme savant, voire comme art.

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Voici donc e début d’une explication simple relative à 

Une erreur absolue : tout le relatif remis en cause par l’expérimentation.

Après des siècles d’évolution les connaissances acquises dans l’esprit scientifique sur l’espace intersidéral permettent de reconnaître aujourd’hui ce dernier comme l’équivalent du plus grand laboratoire contenant le plus puissant instrument de physique expérimentale de notre univers.

Des tas événements observés et reconnus comme renouvelables uniquement dans un tel environnement s’y déroulent inlassablement. Impossibles à reproduire à notre humaine échelle ces évènements sont pourtant scientifiquement interprétables et ainsi devenus compréhensibles par, sinon le commun des mortels, du moins chez ceux-ci par qui a pu boucler un bagage d’études analogue à celui dit du second cycle.

Traduire de telles expériences sur le papier - sans trahir la démarche scientifique - c’est les reproduire en pensée. Ainsi en science physique, faire une expérience de pensée n’est donc qu’imaginer
- dans le cadre des connaissances reconnues- une expérience logiquement reproductible et ainsi en tirer des résultats valides dans l’esprit scientifique de notre époque. En le domaine Galilée apparaît comme précurseur, et comme tout maître sur le chemin d’une vérité universelle encore à scientifiquement découvrir il n’a pu être que dépassé par ses meilleurs élèves. En l’espèce pourtant nous pouvons admettre que l’un d’eux, Einstein, ne lui a pas jeté la pierre alors qu’il était, plus sereinement sans aucun doute, en mesure de le corriger.

C’est que le père de la relativité généralisée a été nobélisé pour avoir expliqué et formalisé l’effet photoélectrique et ainsi postulé et mis en évidence ce que nous appelons aujourd’hui le photon, ce quantum du domaine de l’électromagnétisme auquel appartient la lumière.

Ainsi et sans employer le langage de la mécanique quantique remis en cause expérimentalement dans le cadre de la théorie de MAJ, il est admis de nos jours que la lumière est constituée de photons il y à peu encore décrits comme possédant la double ‘’personnalité’’ onde-corpuscule, photon donc ne possédant pas de masse observable, donc pas d’inertie. Ces photons se ‘’déplacent/propagent’’ dans l’espace à une vitesse ‘’C’’ d’environ 300 000 km/s ; et dans cet espace vide de tout champ de gravitation, c’est-à-dire loin de tout astre produisant un tel champ de force, autrement dit encore dans l’espace-temps observé comme plat par le satellite Planck, les-dits photons se déplacent « depuis leur point d’émission/création » sur une trajectoire rectiligne pouvant être ‘’rapidement’’ appréhendée dans le cadre de la géométrie euclidienne.

Plus simplement (voire trivialement) et pour être « un tant soit peu » compris de tous : la science sait aujourd’hui produire des photons un par un, photons qui, lorsqu’ils sont émis dans un espace vide de tout champ de gravitation, se ‘’déplacent/propagent’’ depuis leur point d’émission/création sur une trajectoire pouvant être représentée par l’euclidienne ligne droite.

Ne possédant pas de masse ces photons ne possèdent par conséquent aucune inertie ce qui, dans le cas contraire et lorsqu’ils sont émis perpendiculairement (normalement) à la trajectoire spatiale de leur source, aurait pour effet de leur reconnaitre une composante transverse qui participerait à leur faire acquérir une vitesse supérieure à « C ». C’est dire que, si les photons possédaient une inertie ils seraient amenés à « suivre » la trajectoire d’un émetteur se déplaçant perpendiculairement à leur ligne de ‘’propagation/déplacement’’, comme l’aurait fait le boulet lâché par Galilée du haut du mat d’un voilier en mouvement rectiligne uniforme sur un plan d’eau étale. Cet accompagnement perpendiculaire est, faut-il le rappeler, contredit par toutes les observations effectuées sur la lumière, et particulièrement par l’observation et l’interprétation du phénomène dit de l’aberration de la lumière des étoiles.

Tout ceci pour servir d’introduction à une expérience cruciale qui se trouve être (effectuée avec les instruments contemporains) un remake d’une expérience qu’aurait faite Galilée en son temps et qui l’aurait poussé (dit la légende) à conclure et écrire que LE MOUVEMENT ÉTAIT COMME RIEN. Autrement dit à donner le top de départ des théories relativistes.

Cette expérience cruciale (et d’autres qui remettent en cause les relativités et interprétations de la MQ) sont explicitées sur le blog de l’auteur à l’adresse suivante :

http://pourtoutetrienunprincipestructurantdelinteraction.blogs.sciencesetav enir.fr/archive/2012/03/19/de-l-erreur-absolue.html

M-A J.

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Bons vents ... 


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