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Commentaire de spartacus

sur Faire le bonheur des peuples malgré eux


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spartacus spartacus 1er novembre 2013 10:10

On est plié de rire devant de tels articles « ode » au replis sur soi, au collectivisme et l’étatisme.


Il y a surtout des suicides à cause de interventionnisme que de la vraie concurrence.

Nous en voie de soviétisation rapide. Chaque jour nous sombrons dans la servitude étatique. Et ces étatiste n’en ont pas assez. 

Nos enfants, nos entrepreneurs, nos talents quittent le pays comme cela c’est toujours passé dans les pays passés au communisme. 

Les impôts approchent les niveaux de Cuba. Les keynésiens ont chargé les générations suivantes de1900 milliards de dettes et 4 000 milliards de dettes sont hors bilan mais engagées sur leur nom. 

L’épargne n’est plus protégé. L’état planificateur socialiste spolie en changeant les règles de droit.

Les libertés fondamentales s’écroulent doucement tous les jours. Au 1er janvier les gens ne pourrons même plus choisir librement leur mutuelle. 

Le CICE est fait pour que chaque entrepreneur se courbe devant chaque bureaucrate. 

L’année prochaine ils ne voient pas que les salaires vont êtres limités pour eux à 2.5 SMIC, et qu’au fur du temps le seuil baissera.

La semaine dernière ils intervenaient pour que Amazon fasse payer le transport, la semaine prochaine on imagine que demain les interventionnistes obligeront les grandes surfaces à augmenter leur prix de 10% pour favoriser la concurrence des petits épiciers !

Ils font passer l’impôt comme arme idéologique même si les effets pervers causent un préjudice à l’économie. Pour gagner 45 millions d’euros dans le foot par idéologie, il vont priver la dépense des clubs de 45 millions d’euro au soutien du sport amateur...

Pas un Français ne fait la différence entre contribution sociale et impôt. 

La moitié du salaire complet des gens est collectivisé sans concurrence et passe en assurances sociales de mauvais rapport qualité/prix sans qu’en plus un seul bilan ne soit publié.

57% du PIB, bientôt 60 sont des factures de l’état...Et les Keynésiens continuent de charger les générations suivantes de leurs délires financier de relance par l’état. 

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