@simon
le cautère fut appliqué avec constance durant 3 décennies accompagné d’un solde qui parait vs satisfaire,
une large frange de la population en capacité de s’endetter en bénéficia, notamment au profit de l’immobilier apr l’acquisition de logement privés
ce n’est plus le cas pour la majorité de nos compatriotes et les jeunes génération ne bénéficiant ni d’un emploi stable, de revenius suffisants ou d’appuis familiaux
la question de l’endettement public répond à plusieurs causes en premier lieu la dérégulation financière, la raptation du capital vs travail, l’exil fiscal voulu et toléré ie les principales entreprises nationales (banques, services industrielles y compris celles détenues par l’état) disposent de sièges financiers basé en Holalnde (aimable coîncidence) qd elles n’opérent pas des actibvités +-légales offshore (Le Cédit Lyonnais dont le contribuable supporte encore la charge, les délocalisations, ,aquisitons hasardeues (Orange) célébrées un temps, par une classe politique irresponsable, comme la quintescence du génie français.
La corruption, une fiscalité aux contours de labyrinthe, une doxa défaitiste complètent le tableau ;
Au demeurant il est moins question d’indexation que du partage des fruits de la croissance, cad une redistribution sociale (éducation, santé, cadre environemental , culture ) et individuelle dépassant le cadre étriqué de la seule inflation.
Nos attentes divergent sur ce point,
les manipulations inflationnistes relèvent du bricolage (le mot est faible) ou plus prosaiquement le déficit budgétaire, défendues indifféremment par feu Seguin, Marie-Noelle Linnemann, Bernard Marys et Alain Madelin,
a belle affaire, probablement le plus bel outil inventé par l’homme juste après le silex
une mémoire courte autorise en effet à effacer les mesures de blocage divers accompagnant ce type de politique ou succédant aux dévaluations régulières opérées à toutes époques de l’histoire économique contemporaine,
la duplicié des politiques a un long avenir devant elle
vs pourriez en être ... et ne vs offusquez pas de mon propos qui n’set qu’un hommage du vice à la vertu
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