Article intéressant.
Le CICE est un échec patent. La TVA sensée le financer ne trouvera jamais 20 milliards. Alors un mélange gloubiboulga URSSAF-CICE payable par des promesses, c’est un annule et remplace qui cache la misère.
Les cotisations familles c’est « l’URSSAF ». En Allemagne, ces cotisations sont incluses dans les impôts locaux.
Sur le fond on voit bien que ce président et cette équipe ne comprend rien à l’économie.
Celui qui décide de la création des emplois, c’est le « client », ou le marché « des clients ». Mais encore faut il avoir des entreprises capables de répondre aux besoins.
Repartir sur des bases assainies c’est en fait appeler un chat un chat.
En terminer de qualifier de « social » tout ce qui touche à l’assurance.
Hollande en est toujours à appeler l’assurance maladie « sécurité sociale ». Il n’a jamais rempli une feuille de paye et il avait déjà du mal avant d’être élu à valoriser le cout des emplois de profs qu’il a créé.
Ses conférences de presse c’est du théâtre. Sur RMC une journaliste indiquait que l’ordre des questions, les questions et les journalistes posant les questions avait été choisi par téléphone la veille par le service de presse de l’Elysée.
Le mieux est de lire la presse étrangère pour se faire une idée :
le Handelsblatt : un « président
qui n’a pas le goût du risque (…) sonnant comme un maître de
conférence, mais pas comme un chef d’État dynamique (…) Il n’a
pas défini de vision claire, seulement des mesures
bricolées. »
Le Spiegel « Il n’a rien de concret qui est sorti d’un laïus face à des journalistes choisis. »
Washington
Post : « Aucun
parmi les centaines de journalistes présents n’a levé la main
pour demander si François Hollande devait démissionner. » En
clair, la presse aux ordres avec des questions mielleuses a joué le jeu du Président . »