Commentaire de Jo Gurmall de Stafferla
sur Qui veut la peau des bisounours ?
Voir l'intégralité des commentaires de cet article
Avoir du mépris pour la recherche fondamentale (dont on ne voit pas l’« intérêt » à court terme, avec des chercheurs qualifiés parfois de « branleurs de mouches ») par opposition à la recherche « appliquée », me semble être aussi, à la lecture de votre article, une caractéristique du brutalisme.
Derniers commentaires
-
08/02 12:18 - Viciss
Ah, si seulement il suffisait de lire les titres de chapitres pour saisir la substance (...)
-
08/02 12:15 - JL
Bonjour Viciss, sur le premier point, en effet, vous n’avez pas tort. Mais de fait, (...)
-
08/02 11:56 - Viciss
@JL Oui, à partir de ces deux idées contradictoires nous nous confrontons à des apories, à des (...)
-
05/02 10:01 - Gugu
Merci pour cet article qui est tellement explicite... Voilà bien longtemps que je (...)
-
05/02 09:59 - Gugu
Je ne suis pas d’accord, le bisounours qui n’a pas eu a souffrir de beaucoup (...)
-
05/02 09:58 - fborion
Pour moi, le mot « bisounours » ne signifie plus rien, quand bien même je perçois à quel genre (...)
Articles les plus lus
- N’est-ce pas Bruno Le Maire qui devrait être licencié ?
- L’imposture de l’aide américaine
- L’UE sanctionne l’IRAN, un comble !
- Le milliardaire ne paye ni la TVA, ni taxe carburant
- Qui est responsable de « l’orange mécanique » 2024 ?
- C’est reparti, comme avant chaque élection
- Macron, champion olympique ?
- Vérité contre mensonge ? L’heure des comptes !
- GRANDE-SYNTHE : Marre des marches blanches, des nounours et bouquets de fleurs
- NON au drapeau ukrainien le 9 juin
Agoravox utilise les technologies du logiciel libre : SPIP, Apache, Ubuntu, PHP, MySQL, CKEditor.
Site hébergé par la Fondation Agoravox
A propos / Contact / Mentions légales / Cookies et données personnelles / Charte de modération