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Commentaire de tesla_droid84

sur Les comptes de fées du FN


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tesla_droid84 6 février 2014 14:13

Il est tres drole cet article, 


Déja un homme de gauche qui prend ses analyses chez Terra Nova, c’est un peu se moquer du monde.... Regardez qui sont les mecenes, bref européeiste convaincus il ne fallait pas s’attendre à quelque chose d’impartial.
Ensuite vous embrouillez tout le monde avec le Brésil qui avait des dettes contracté en dollars, donc la conversion il la prennent dans la tronche ce qui ne sera pas notre cas.
Il nous faut aussi une polique inflationiste (c’est ce qui marche en France, c’est en parti liée à notre natalité), mais arretez de faire peur avec votre hyperinflation genre 3eme Riech ou Zimbabwe vous perdez toute crédibilité. Nous il nous faut du 5/6% pour retrouver le plein emploi, et avec une echelle mobile des salaires cela se fait sans douleur (c’est un socialo qui l’a brisé en 83 !).
Ensuite vous ne dite pas combien cela coute de rester dans l’euro, cela coute plus de 100Mds par ans dont 80Mds€ de balance commerciale. Convertissez ça en nombre d’emploi vous allez tout de suite voir comment l’impact d’un euro à 1.35$ nous coute (1 million d’emploi à 40000€/an et 40Mds€ de manque a gagné pour l’etat).
Pour finir, il y a eu une centaine d’une union monétaire qui se sont terminés au 20eme siècle et aucune ne s’est mal passé. Voir l’exemple de la Tchécoslovaquie qui a voulu garder la meme monnaie en se séparant de la Slovénie, 6 semaines apres il ont du séparer les monnaies car l’ensemble n’était pas assez homogène (alors imaginez le gap entre la Grece et l’Allemagne). 
Les sources que cite Mr Cabanel sont toutes partiales quand à la question européenne. Il n’y a pas un seul expert sérieux et indépendant qui soutienne cette monnaie et ceux qui l’avait fait se rétractent en ce moment ? 

Christopher Pissarides, professeur à la prestigieuse London School of Economics. De manière intéressante, contrairement à Paul Krugman et Joseph Stiglitz, sceptiques de la première heure, l’économiste a affirmé que « à l’époque, l’euro semblait être une bonne idée. Mais cela s’est retourné (contre ses créateurs). Cela pénalise la croissance et la création d’emplois et divise l’Europe. La situation actuelle est intenable  ». Il a appelé à un démontage ordonné de la monnaie unique ou à des mesures destinées à promouvoir la croissance et l’emploi.

L’économiste a dénoncé « une génération perdue de jeunes gens éduqués  » du fait de la monnaie unique. Il avait déjà soutenu en juin dernier que « si l’Espagne veut se sauver, elle doit revenir à la peseta  ». Dans Atlantico, Nicolas Goetzmann revient sur la prise de parole de Christopher Pissarides et souligne également que les années de crise éloignent de plus en plus les peuples de cette mauvaise européenne. Aujourd’hui, il n’y a plus que 45% des peuples européens qui sont favorables à l’Union Européenne (contre 60% en 2012), ce qui promet de très bons résultats pour les partis qui lui sont opposés.

Le démontage de l’euro : la seule politique raisonnable

Mais ce qui est encore plus intéressant ici, c’est de rappeler à quel point le débat est biaisé dans la plupart des médias. S’opposer à la monnaie unique est souvent caricaturé comme un réflexe nationaliste, d’arrière-garde, du passé, qui serait totalement déraisonnable. Les bataillons de moins en moins fournis de ses défenseurs promettent toutes sortes de malheurs qui ressemblent aux sept plaies d’Egypte, comme ils le faisaient en 2010 quand nous évoquions cette issue pour la Grèce. Mais le temps a parlé : c’est le fait de maintenir la monnaie unique qui provoque une catastrophe.



 

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