@Par Roungalashinga
(---.---.194.224)
23 février 08:00
c’est toi qui parlait de concepts abstraits sans contenu concret.....
Puisqu’il est question de structure de société, rapports de pouvoirs, de relation entre personnes uniquement dans ce que je dis.
L’église
en étant basé sur une hiérarchie à plusieurs niveaux contient de
nombreux éléments particularistes, de m^me que chercher à obtenir une
place privilégiée dans la société pour l’église en fait partie.
Mais
dans la culture catholique il y a des éléments universalistes, plus que
dans le protestantisme, et encore plus que dans l’islam ou le judaïsme.
En fait dans la deuxième partie on voit qu’il est question d’unité de la multitude.
Or l’universalisme est basé sur l’unité de la multitude pour reprendre le langage du texte.
D’un autre côté ils disent que l’unité qui ne repose pas sur la multitude est tyrannie.
Donc il disent que si l’unité ne repose pas sur ce qui rassemble la multitude, mais n’est que le rassemblement sous une partie, alors c’est la tyrannie.
Cela signifie dans ce cas qu’un point de vu est supérieure aux autres et donc qu’on n’est plus à égalité les uns les autres.
Or l’universalisme reposant sur l’unité et l’égalité, énonce aussi que tout unité basé sur un point de vu particulier est tyrannie. (unité des règles et absence de hiérarchie)
et les deux expressions ne sont finalement que les faces de la même pièce universaliste qui défini l’unité de la multitude dans le qui rassemble la multitude sans soumettre à un point de vu particulier. D’ailleurs Pascal note que les deux énoncés ne se contredisent pas.
Donc j’en déduit qu’ici s’exprime le côté universaliste de l’église catholique.
J’ai bon ?
j’ai mis 5h 15 en cherchant sur wikipédia c’est grave ?
D’un autre côté la position
transcendantale du pape qui le met donc dans une situation particulière
par rapport à la multitude, relève du particularisme et de l’autoritarisme.