On voit bien que l’auteur ne comprend pas son copié-collé.
Une confusion entre dividendes et coût du capital...C’est dommage car avec les exagérations il y aurait des choses a développer qui ne l’on pas été.
Mais en soit elle révèle le non-sens de beaucoup de la formation économique de l’éducation nationale qui forme une France des ignorants du raisonnement économique.
L’auteur dans ses fantasmes ignore que les « dividendes » ne vont pas a des vils capitalistes qu’il aime stigmatiser, mais plutôt a des placements de familles, retraités et trésoreries d’entreprises et fond de pension de retraités.
Une action Sanofi rapporte en tout et pour tout comme dividende 2,8€ pour un prix d’achat moyen de 70€....soit une moyenne de 4% avant impôts...Correct mais pas transcendant.
Le vil capitaliste lui gagnera ou perdra bien plus que 4% sur le risque de la spéculation de l’action. Le dividende étant l’accessoire du profit. Mais allez expliquer cela à un gauchiste qui veut absolument sortir son ineptie récurrente de la coco sphère, que le capital pèse sur le coût du travail.
Peut être dans son monde les entreprises s’auto-financent ? Ou empruntent aux banques même sur de projets risqués ?
L’auteur veut présenter les revenus des dirigeants en face du Français moyen. C’est comme si on présentait les revenus du percepteur Français à un balayeur Pakistanais. Il n’en reviendrait pas.
Le chiffre d’affaire de SANOFI est réalisé à 93% hors de France. Les revenus des dirigeant sont impressionnant mais confrontés aux dirigeants des groupes mondiaux américains dans la norme. Evidemment l’auteur c’est senti obligé d’exagérer les chiffres et se décrédibilise.
La seule chose vraie dans ce mélange est de stopper le socialisme économique, c’est à dire les subventions de tout genre.